• Je ne sais pas si on a le droit de commenter ces faits, ni même de les qualifier, aussi (comme disait la blague Tchécoslovaque il y a qq décennies: "De nos jours qui ose encore ouvrir la bouche ?") je vous les livres tels quels, ils parlent assez d'eux-mêmes,. Ils se trouvent dans la deuxième partie de ce texte (quoi que la première partie est très intéressante aussi ..... - mais c'est un autre sujet)

    http://www.jp-petit.org/nouv_f/garde_a_vue.htm

     


     

     


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  • toutes les plus interessantes vidéos sur le sujet :

    http://www.reopen911.info/search.html?query=911+eyeswitness&commit=Rechercher

     

    et devant les récentes éructations journalistiques sur Bigard et d'autres, un citoyen pantois commente:

    ce qui m'a le plus secoué ces derniers jours c'est la levée de boucliers de journaux comme "libe" "nouvel obs" etc..un vrai concert de pleureuses! haro sur jm bigard!! on dirait la presse nord coréenne ou sovietique du temps de Brejnev!

     

    tout à fait! c'est tout à fait ça


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    "Robert Fisk, reporter au Moyen-Orient pour le journal anglais The Independent, notait dans un autre registre : «Une fois qu'un peuple n'est plus terrorisé on ne peut lui réinjecter la peur.» (la peur qui ne l'oublions pas est l'artifice principal qu'"ils" utilisent pour nous faire accepter les bras ouverts leurs ignominies totalitaires Triste) Voilà pourquoi, à l'indignation ou à la colère, qui remettent en selle l'adversaire en lui donnant l'occasion de répondre, je préfère le bras d'honneur. Et le rire qui tue.

    Imaginez un quelconque de nos scélérats en chef accueilli en public, non par des sifflets, non par des pancartes de protestation, mais par une salve immense et tonitruante de rigolade, une formidable ola d'hilarité dans les gradins du cirque où ils pensaient triompher. Oui, il est grand temps de nous décomplexer et de prendre le recul de l'humour pour qualifier ce ramassis de voyous de ce qu'ils sont vraiment : des cons grotesques, atteints graves et incapables. Risibles.

    Le rire qui tue est bien plus communicatif que la colère."

     

    source Yetiblog 


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  • http://www.toutelaverite.com/html/GoogleTap_SG_postx_9676_0_0.html

     

    le capitalisme est la pire dictature qui soit

    car elle ne vous tue pas tout de suite

    et vous donne une illusion de liberte

    pendant que le reste de la planete creve

    la capitalisme en cela ests pire que le fascisme

    marx avait raison


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    "Nous assistons impuissants à la paupérisation de la classe moyenne française. Ce mouvement est à bilan nul car il s'accompagne de l'émergence d'une classe moyenne dans certains pays du tiers monde et de l'enrichissement d'une classe riche. Le combat de la classe moyenne française pour la pérénité de ses privilèges ne peut pas être national et il doit être dirigé soit vers les pays qui émergent, soit vers les riches qui accaparent une proportion toujours supérieure de la richesse produite.

    Les nouvelles ne sont pas bonnes pour la classe moyenne française : récession, perte du pouvoir d'achat, chômage, précarité, chute de l'immobilier, limitation du crédit, déliquescence de l'enseignement public... Pourtant, le PIB de la France (richesse totale produite par l'ensemble des français) continue d'augmenter. Mais ni la classe moyenne, ni les classes populaires n'en profitent. Cela implique donc que les plus riches s'enrichissent comme jamais. On peut s'étonner de la pérennité d'une telle tendance dans une démocratie dont la particularité devrait être de défendre les intérêts du plus grand nombre. Elle est pourtant rendue possible par les faiblesses inhérentes au fonctionnement de ce type de régime : le discernement des électeurs constitue sans conteste la clé de voute des démocraties. En effet, l'élection présidentielle, par exemple, est une opération de séduction conduite par des équipes de professionnels formés, capables de vendre de la lessive, du yaourt ou du président de la république. Face à eux, nous trouvons une population qui consacre une part non négligeable de son temps à assouplir son cerveau en ingurgitant des programmes abrutissants sur des chaînes chargées de la dresser à acheter selon leurs injonctions. Le combat est trop inégal et le système démocratique, en accordant le droit de vote à chacun, indépendamment de son discernement, facilite encore la victoire des professionnels. Désormais donc, les élections se jouent sur la séduction de la masse : la force tranquille, la rupture, la sécurité, le pouvoir d'achat.... Autant de thèmes soigneusement choisis pour fédérer le plus grand nombre puis oublié sitôt les premières difficultés apparues. Chaque candidat est sans doute sincèrement convaincu d'être LE candidat mais comment obtenir l'investiture lorsqu'on sait devoir imposer des mesures impopulaires ? Une seule solution : proposer un programme de campagne destiné à séduire puis y renoncer progressivement au nom d'un réalisme dicté par les événements. Et curieusement, personne ne s'émeut de ces leaders piètres prophètes, comme si personne n'était dupe. La prospective est un art plus difficile que la séduction.

    Ainsi, les peuples des pays démocratiques élisent des personnes qui ne défendent pas toujours leurs intérêts. Mais il ne s'agit pas de l'unique cause du malheur de la classe moyenne française. Celle-ci subit de plein fouet la mondialisation. Ce terme était tout d'abord synonyme de vêtement made in china, puis il est progressivement devenu synonyme de délocalisation des usines et désormais des services. Pourtant, l'aspect social a toujours été occulté, en dehors des licenciements liés aux délocalisations : pouvait-on maintenir une classe moyenne française privilégiée par rapport au reste du monde alors même que les frontières perdent progressivement leur sens et leur étanchéité ? Les multinationales comme Renault peuvent-elles continuer à traiter différemment leurs ouvriers français et coréens ? Pourquoi payer un ingénieur français dix fois le prix d'un ingénieur indien ? La réalité à laquelle se trouvent confrontées les équipes dirigeantes des grandes firmes se trouve désormais en opposition avec les aspirations d'une classe moyenne nationale, (mal) défendue par un parti socialiste qui tarde à admettre les évolutions récentes du monde, ou plutôt qui peine à inscrire sa philosophie dans ce nouveau paysage. Le parti socialiste est construit sur des fondations philosophiques totalement fissurées par la mondialisation. Doit-il défendre les intérêts de la classe moyenne française au détriment d'une classe moyenne internationale ? Ou doit-il défendre les intérêts d'une classe moyenne internationale au détriment de son électorat français ? Ce problème est insoluble nationalement et exigerait l'émergence d'un parti socialiste transfrontalier candidat à un gouvernement mondial qui n'est pas encore à l'ordre du jour.

    Une certaine partie de la droite, celle qui vit au contact des grands patrons, a bien intégré les nouvelles exigences qui résultent de la mondialisation et surtout les nouvelles perspectives d'enrichissement que dessinent ces évolutions. Il s'agit désormais pour elle de créer une classe moyenne mondiale harmonisée en termes de pouvoir d'achat, d'exigence, docile vis-à-vis des multinationales qui supplanteront progressivement les États. Ainsi en va-t-il de la sécurité sociale, système de solidarité national dont l'existence est contraire à la nouvelle philosophie transnationale de la droite. Les assurés sociaux français seront progressivement amenés à basculer leurs cotisations vers les assurances privées. Cette évolution est d'ailleurs déjà engagée avec des opérations telles que le financement du déficit de la sécurité sociale par des mutuelles. Ne nous leurrons pas : il s'agit désormais de mettre un frein à l'expension du chiffre d'affaire de la sécurité sociale pour augmenter celui des assurances privées. La défiscalisation des heures supplémentaires relève également de cette logique. En effet, l'assurance sociale ne perçoit pas de revenu sur les heures supplémentaires travaillées. Avec un PIB qui augmente peu, une productivité qui continue de s'améliorer et un volume d'heures travaillées qui est donc quasi stationnaire, l'assurance sociale perçoit moins d'argent. Le recul de l'âge de la retraite et toutes les mesures prises récemment vont dans ce sens. La solidarité nationale est en cours de démantèlement pour faire le lit des assurances privées.

    Nous assistons à l'affaiblissement des États et à l'émergence de multinationales qui agissent comme les États coloniaux du XIXè siècle mais vis-à-vis d'une classe moyenne mondialisée. Les firmes dictent leurs conditions, exigent des ajustements structurels de la part des États jugés trop complaisants envers leur classe moyenne, font élire leurs représentants à la tête des pays. Et ce n'est probablement qu'un début. Dès lors que la solidarité sera privée, certaines firmes payeront les assurances de leurs salariés, l'école privée de leurs enfants, peut être leur logement et ceux-ci auront beaucoup plus d'intérêts vis-à-vis de ces firmes que vis-à-vis de leur pays de naissance. Ils n'auront donc plus aucune raison de se batte pour défendre des privilèges nationaux, ils ne voteront plus pour un parti qui défend les particularités liées à une appartenance nationale. La question est maintenant de savoir si nous voulons défendre nos particularités françaises ou si nous sommes disposés à les abandonner, si nous voulons d'un système d'État ou d'un système de multinationale, si nous voulons d'un monde où les dirigeants sont désignés par des conseils d'administration ou si nous préférons la démocratie ? Si nous choisissons de renoncer au futur qu'a choisi pour nous notre président, il va falloir dégager rapidement du temps de cerveau disponible pour réfléchir à une alternative."

     

    source : Agoravox


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