• les 3 principaus proconsuls (ou marionettes si vous préferez) des USA :

     

    Le gouvernement de Syriza veut faire sombrer le TTIP
     

    Le nouveau gouvernement à Athènes s'est toujours méfié du partenariat transatlantique pour le commerce et l'investissement (TTIP) et compte utiliser sa majorité parlementaire pour faire échouer l'accord commercial entre les États-Unis et l'UE. Un article d'EurActiv Grèce.

    Après avoir donné de la voix lors du débat sur les sanctions russes, le nouveau gouvernement d'Athènes s’attaque désormais à l'accord commercial UE-USA, ou TTIP.

    Georgios Katrougkalos, ancien eurodéputé influent de Syriza, désormais ministre adjoint pour la réforme administrative au sein du gouvernement grec de gauche, a déclaré que le nouveau pouvoir de l'État hellénique utiliserait son veto pour faire sombrer l'accord, en tout cas dans sa forme actuelle.

    Juste avant les élections grecques en janvier, Georgios Katrougkalos avait déclaré à EurActiv Grèce qu'un parlement dominé par Syriza ne ratifierait jamais le TTIP.

    Interrogé sur le maintien de cette promesse maintenant que Syriza est au pouvoir, le ministre a répondu :

    « Je peux vous assurer qu'un parlement où Syriza détient la majorité ne ratifiera jamais l'accord de libre-échange. C'est un grand service que l'on rend non seulement au peuple grec mais aussi au peuple européen dans son ensemble. »

    Double pouvoir de veto

    Syriza, le parti de gauche, n'a peut-être pas la majorité absolue au parlement grec mais son petit partenaire de coalition semble partager le même point de vue sur l'accord commercial.

    Le parti d'Alexis Tsipras, qui a remporté une victoire écrasante lors des élections anticipées du 25 janvier dernier, a formé une coalition avec les Grecs indépendants, parti anti-austérité de droite déterminé à s'opposer aux lois favorisant les grandes entreprises.

    >> Lire : La victoire de Syriza brave l'austérité en Europe

    Cette coalition donne au nouveau pouvoir grec un véritable droit de veto sur le TTIP et autres accords soumis à la ratification des parlements nationaux.

    En effet, une fois que le pacte sera négocié - processus qui pourrait prendre plus d'un an - il sera soumis à un vote unanime du Conseil européen, où chacun des 28 gouvernements nationaux est représenté.

    Cela signifie qu'un pays peut faire valoir son droit de veto pour influencer les négociations ou bloquer l'accord commercial dans son ensemble, une occasion que Syriza n'hésitera pas à saisir.

    Même si l'accord passe cette première étape, il sera par la suite soumis à la ratification des parlements des 28 États membres, offrant ainsi une deuxième chance à Syriza d'exercer son véto.

    L'État providence menacé

    Comme beaucoup de partis de gauche et sociaux-démocrates en Europe, Georgios Katrougkalos a exprimé de vives inquiétudes quant au mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États, ou RDIE, inclus dans l'accord.

    Le mécanisme vise à protéger les investissements à l'étranger des entreprises contre des règles nuisibles ou illégales dans les pays où elles opèrent. Ce mécanisme donne donc une chance aux entreprises d'engager des poursuites judiciaires contre un État dont la législation a un effet négatif sur leurs activités économiques.

    Georgios Katrougkalos a souligné l'incertitude planant au-dessus des négociations du RDIE, ajoutant au passage que le mandat de la Commission européenne manquait de clarté.

    « Depuis le début, ces négociations manquent de transparence, ce qui est anti-démocratique », s'est-il indigné.

    >> Lire : Les négociations sur le TTIP reprennent sous tension à Bruxelles

    Selon le nouveau ministre, l'objectif du TTIP n'est pas de réduire les droits de douane, qui sont déjà très bas, mais plutôt d'ajuster les règles appliquées à d'autres secteurs. « Il contribue à l'élimination de certaines procédures bureaucratiques pour les exportations, ce qui renforce l'efficacité économique », a-t-il admis.

    Le danger, selon lui, réside dans le fait que la plupart des secteurs économiques ont des réglementations différentes en Europe et aux États-Unis. Pour le ministre, les multinationales cherchent à avoir le moins de barrières réglementaires possible, citant notamment les banques et les sociétés de courtage qui sont soumises à moins de contrôle aux États-Unis qu'en Europe.

    « L'UE n'autorise pas les OGM, offre une bien meilleure protection des données et de meilleurs systèmes de santé nationaux », a-t-il déclaré, ajoutant que toute consolidation de ces règles « bouleversera la manière dont l'État providence est organisé dans l'UE. »

    Les Grecs indépendants sur la même ligne

    Les Grecs indépendants, le parti anti-austérité de droite, partenaire de coalition de Syriza, s'oppose également au TTIP.

    Dans un communiqué publié le 4 novembre 2014, le parti, dans l'opposition à cette époque-là, avait déclaré que l'accord ne serait pas à la hauteur de ses promesses de relancer l'activité économique.

    « L'accord est censé stimuler l'économie réelle, mais ses principaux défenseurs sont des banques internationales et des lobbies », a rappelé Marina Chrysoveloni, porte-parole des Grecs indépendants.

    « En d'autres termes, le capital spéculatif sera encore plus libre de circuler […] dans un marché unique immense qui comptera 800 millions de personnes » a-t-elle conclu.
    (donc l'alliance de Syriza avec les grecs indépendants n'a rien de "contre-nature".)

    Du côté de Syriza, Georgios Katrougkalos admet qu'il ne sait pas comment vont se terminer les négociations mais se dit confiant que l'accord de libre-échange « sera approuvé par le Parlement européen ».

    « Les sociaux-démocrates rejettent la clause de règlement des différends entre investisseurs et États mais semblent accepter la logique de l'accord commercial », a rappelé le ministre adjoint. Selon lui, le Parti populaire européen de centre-droit et les libéraux ADLE « peuvent compter sur leur majorité au Parlement ».
    EurActiv Greece
    Sarantis Michalopoulos
    traduit de l'anglais par
    Marion Candau

     

    quand au bilan entre la Grèce et l'Allemagne, ce n'est pas la grèce qui doit de l'argent à lAllemagne, c'est l'Allemagne qui en doit à la grèce et n'a pas payé ce qu'elle doit :

    http://www.anti-k.org/2015/02/11/la-grece-et-loccupation-par-les-forces-du-iiie-reich-1941-1944-la-dette-de-qui-envers-qui/


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  • Le chantage continue,la Serbie, officiellement candidate à l’entrée dans l’UE, est sommée par Johannes Hahn, commissaire européen chargé de la politique européenne de voisinage et des négociations d’élargissement, de choisir son camp. Soit l’entrée dans l’UE reste sa priorité, comme elle l’a déclarée, soit elle veut continuer à coopérer avec la Russie. C’est une certaine conception de la négociation. Autrement dit, en temps de guerre, la neutralité déclarée par la Serbie n’est pas de mise. Bref, L’UE reconnait que la Russie a officiellement obtenu le statut d’ennemi.

    La position de la Serbie est plus que délicate. D’autant plus que, comme le rappelle Le Parisien, les intérêts de la coopération avec la Russie revêtent un caractère vital pour le développement de l’économie de la Serbie.

    « La Russie a d’importants intérêts en Serbie. Son géant gazier et pétrolier Gazprom est le propriétaire majoritaire de la compagnie pétrolière serbe NIS avec 51% des parts.De plus, Belgrade et Moscou ont mis en place à l’aéroport de Nis (sud) un « Centre régional pour les situations d’urgences » où sont stationnés des avions russes prêts à intervenir dans la région, sur demande des pays concernés.Alors que la Serbie est à court d’argent, Moscou et Belgrade ont signé en janvier 2013 un accord sur un crédit de 800 millions de dollars destinés à la reconstruction de l’infrastructure ferroviaire. Puis en avril, Moscou a octroyé à son allié un autre prêt de 500 millions de dollars, destiné l’aider à faire face à son lourd déficit budgétaire. »

    L’ultimatum de l’UE, pour sa part, sonne mal. Dans une interview, J. Hahn déclare de manière un peu trop péremptoire:

    « Dans le cadre des négociations concernant son entrée dans l’UE, la Serbie s’est engagée à mettre en accord sa position avec l’UE en ce qui concerne des questions aussi difficiles que celle des sanctions contre la Russie. C’est très important et nous espérons que Belgrade respectera ses obligations. »

    La menace du commissaire européen est à peine voilée : la Serbie doit se soumettre et seule la soumission permettra de confirmer que le choix européen reste son choix. Autrement dit, elle doit faire un choix entre sont intérêt national et l’intérêt de l’UE.
    Et pour faire passer le message, les médias français lance un légère campagne de dénigrement de la Serbie. Voir par exemple le reportage, particulièrement mal fait, de France 24, que vous pouvez voir ici. Le journaliste y montre de manière absurde que, en raison de sa politique de neutralité, la Serbie est exclue des sanctions russes contre les pays européens. Elle peut donc exporter ses fruits et légumes en Russie, ce qu’elle fait par ailleurs. Mais selon le journaliste, non seulement cela ne sert à rien au pays car il ne produit pas suffisamment pour couvrir tout le marché russe (c’est un argument d’une rare stupidité), mais en plus les serbes osent faire passer en contrebande en Russie des produits européens sous étiquettes serbes. Bref, ce sont vraiment des gens infréquentables …
    Plus généralement, en ce qui concerne l’évolution de l’UE, cette sortie assez maladroite du commissaire européen confirme certaines tendances:
    1. L’UE est dans une phase d’affaiblissement. Comment en est-on arrivé à menacer ouvertement dans la presse un Etat souverain? A lui faire du chantage à l’entrée dans l’UE? Cela veut dire que l’UE n’est plus aussi attractive, que sa propagande n’est plus aussi efficace et que les négociations/pressions de couloirs ne sont plus suffisantes. Mais la réaction ne s’est pas faite attendre. Le Premier ministre serbe a rappelé que la Serbie est un Etat souverain et qu’elle décidera seule de sa position concernant la Russie.
    2. L’UE se radicalise et considère la Russie comme un ennemi. Sinon, rien n’empêche un Etat souverain d’avoir des relations commerciales et politiques et avec l’UE et avec la Russie.
    3. Cela montre en conséquence l’hypocrisie du discours européen disant que l’Ukraine peut collaborer avec la Russie et que seule la Russie l’en empêche.
    4. L’UE n’est plus apte à intégrer des Etats souverains. Elle a besoin de « petits soldats obéissants », elle a besoin de soumission. Il n’y a plus de place pour l’intérêt national.
    5. L’intérêt de l’UE s’est totalement dissocié de la somme des intérêts des pays membres. La structure UE est donc autonome des pays qui la compose. Ce qui pose de sérieuses questions en terme de gouvernance, de démocratie et de liberté.......Innocent

    Et pendant ce temps l'Ukraine, la "chérie" de l'UE voilà ce qu'elle devient : http://fr.novorossia.today/au-coeur-de-l-actualit/les-entrailles-antieurop-ennes-de-l-ukra.html Cryhttp://fr.novorossia.today/au-coeur-de-l-actualit/les-entrailles-antieurop-ennes-de-l-ukra.html

    c'est ça le modèle de nos dirigeants ? de nos maitres des USA ?

     

    ET POURTANT des ukrainiens, communistes se révoltent devant la main mise de l'UE sur leur pays

    https://histoireetsociete.wordpress.com/2014/12/04/komsomol-leninsky-les-ukrainiens-ne-seront-pas-les-esclaves-de-leurope/


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  • *

    2/10/2014 :

    François Asselineau - Union Populaire Républicaine
    Le dénigrement est une tactique éprouvée de manipulation des esprits, mais à une condition néanmoins : il faut que le dénigrement repose sur des éléments de vérité, sérieux, vérifiables, continus dans le temps.

    Mais si le dénigrement ne repose sur rien, et même sur le contraire exact, il s'agit alors de diffamation. Et la diffamation se termine toujours très mal pour les diffamateurs.

    Ainsi, il peut sembler efficace à M. Reichstadt, Mme Fourest et leurs officines de nous qualifier "d'extrême-droite", de "complotistes" et "d'illuminés".

    Mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que nous ne sommes plus dans les années 80. Nous sommes en 2014.

    Désormais, grâce à Internet, tout un chacun peut aller se faire son opinion par soi-même. Tout un chacun peut donc consulter la moindre de nos vidéos, la moindre de nos analyses, la moindre de nos propositions, le moindre de nos écrits.

    Tout un chacun peut alors constater que l'UPR est l'exact inverse d'un mouvement "d'extrême droite", "complotiste" et "illuminé". Toutes nos analyses sont parfaitement référencées aux meilleures sources, toutes nos propositions s'inscrivent dans le droit fil des plus grandes valeurs républicaines.

    Dans ces conditions, plus l'UPR se développe, et plus les citoyens découvrent, avec indignation et colère, à quel point les "informations" de M. Reichstadt, Mme Fourest et consorts sont des calomnies de A à Z. Ils découvrent aussi que l'UPR est un mouvement fort de plus de 6000 adhérents, venus de tous les horizons politiques et notamment de la gauche, qui sont tout autant calomniés et scandaleusement traînés dans la boue que moi par leurs écrits infâmes.

    Déjà plusieurs journalistes nous ont fait savoir, discrètement, à quel point ils sont scandalisés par les procédés de ces officines, et à quel point l'UPR les intéresse. Déjà le CSA a mis en garde Mme Fourest. Et ce n'est encore rien car nous n'allons évidemment pas laisser ces manipulateurs publier leurs diffamations sans réagir.

    Ce petit gang fascisant qui terrorise les rédactions des grands médias et qui prétend interdire toute pensée qui ne plaît pas à l'empire euro-atlantiste est donc en train de se saborder lui-même. Ils croient que personne n'a compris leur jeu, ils ne se rendent pas compte que des centaines de milliers de citoyens le voient au contraire très clairement.

    Non seulement le cas UPR achève de leur faire perdre toute crédibilité mais leurs procédés d'intimidation et de terreur apparaissent désormais au grand jour. Ils suscitent un immense élan de sympathie en faveur de l'UPR.

    Comme toujours dans l'Histoire, la vérité et la rectitude finiront par triompher du mensonge et des coups tordus.

    FA

    et ici F. Asselineau à l'université d'automne du M'PEP en compagnie du PRCF et du Front Syndical de Classe

    *


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  • comme l'explique Tepa :

    http://www.dailymotion.com/video/x21d2ve_tepa-la-derniere-libre-antenne-de-la-saison-1-meta-tv-2-4_webcam

    http://www.dailymotion.com/video/x21d2ve_tepa-la-derniere-libre-antenne-de-la-saison-1-meta-tv-2-4_webcam


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    *Faites confiance aux connaisseurs en matière de résistance !

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    Rougeyron : "tout ça c'est le CNR !"

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