• grand bantitisme légalisé !


    Ces groupes agroalimentaires qui s’approprient les terres agricoles ukrainienne


    Niema Movassat, député du groupe «Die Linke» au Bundestag – suite à la réponse du gouvernement fédéral à sa question (Deutscher Bundestag, Drucksache 18/3925, 18e période électorale du 4/2/15) –, s’est adressé à l’opinion publique avec une contribution concernant l’accaparement de terres agricoles fertiles en Ukraine par des groupes agroalimentaires internationaux (www.linksfraktion.de du 18/2/15).
    Il y déclare qu’à l’abri de la guerre dans l’Est du pays et sans que le peuple s’en aperçoive, on entreprend «une vente massive de terres agricoles ukrainiennes à des groupes agroalimentaires nationaux et internationaux cotés en bourse».
    Un moratoire sur la vente de terrains en vigueur en Ukraine jusqu’à 2012 a bien été prolongé jusqu’à janvier 2016, mais grâce au système du leasing pour une durée de 50 ans, les terres ukrainiennes sont devenus très attractives pour les investisseurs.
    Les conséquences pour les petits agriculteurs du pays sont dévastatrices: «Ils perdent leur terres et sont dans les meilleurs des cas embauchés en tant que main-d’œuvre bon marché par les groupes agricoles. L’appauvrissement et la concentration des terres entre les mains d’un petit nombre en sont les conséquences.»
    En collaboration avec un certain nombre de ses collègues du groupe, le député avait tenté d’obtenir des informations plus précises sur l’accaparement de ces terres. Le gouvernement fédéral a confirmé dans sa réponse «l’énorme ampleur de l’accaparement des terres.» La moitié des terres agricoles ukrainiennes sont déjà exploitées par des grandes entreprises. La plus grande d’entre elles, le groupe agricole UkrLandFarming, possède à elle seule environ 670?000 hectares. En comparaison, les grandes entreprises agricoles allemandes gèrent au maximum 12?000 hectares.
    Les dix plus grands groupes agricoles ukrainiens contrôlent déjà environ 2,8 millions d’hectares de terres, certains oligarques possèdent chacun plusieurs centaines de milliers d’hectares. Ces surfaces sont principalement destinées à la production agricole pour l’exportation, exigent beaucoup de technologie et de capitaux et sont donc étroitement liées à des fonds d’actions et des fonds de pension européens.
    Autrefois, l’Ukraine était considérée comme le «grenier à blé» de l’Union soviétique parce qu’elle dispose de sols à terre noire très fertiles et que la surface arable de 32 millions d’hectares représente environ le double de la surface cultivable de l’Allemagne. L’Ukraine est actuellement le troisième plus grand exportateur mondial de maïs et le cinquième pour le blé, en outre, on y produit de grandes quantités de colza exporté en Europe occidentale pour la production de l’essence.
    Le bradage des terres agricoles est accompagné d’une politique de privatisation massive. L’Accord d’association avec l’UE prévoit des privatisations et des dérégulations dans le secteur agricole. A l’avenir, les semences OGM pourront être cultivées en Ukraine. Selon le député, le pays fait partie des marchés de croissance les plus prometteurs pour les producteurs de semences Monsanto et Du Pont. Les prêts de 20,5 milliards, accordés par le FMI et la Banque mondiale en mai 2014, n’étaient pas seulement liés à des «réformes» telles l’augmentation de l’âge de la retraite et la réduction des prix du gaz. Le député soupçonne que la vente de terres arables aux entreprises cotées en bourse en faisait également partie.
    Le gouvernement allemand et l’UE soutiennent la vente des terres ukrainiennes avec des dizaines de millions. Ainsi, les prêts de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) accordés aux entreprises agricoles ukrainiennes et internationales ont fortement augmenté. Alors qu’en 2013, 45 millions d’euros ont été versés à des sociétés ukrainiennes, ce chiffre a déjà triplé à 131 millions d’euros en 2014. Pour les groupes étrangers, les sommes versées ont augmenté dans la même période de 122 millions à 186 millions d’euros.
    En Ukraine, il y a aussi des entreprises allemandes qui sont actives. Entre autres, l’agro-commerçant Toepfer International (aujourd’hui ADM Germany) qui a obtenu en 2012 un prêt de 50 millions de dollars de la BERD «pour l’achat de céréales et des graines oléagineuses.» Pour des projets agricoles, réalisés par le ministère allemand de l’Agriculture dans le cadre du programme de coopération bilatéral en Ukraine, on a prévu jusqu’à présent pour 2015 environ 1,2 millions d’euros. Suite à un projet de jumelage entre l’UE et le gouvernement ukrainien, l’évaluation des terrains, la gestion des sols, l’arpentage et la création d’un cadastre des sols seront financés à hauteur de 1,8 millions d’euros. Le ministère allemand de l’Agriculture subventionne également depuis 2008 le «Deutsche Agrarzentrum in der Ukraine» (DAZ) offrant des programmes de formation pour les agriculteurs. Les membres fondateurs de l’organisation responsable du DAZ sont entre autres des représentants d’entreprises agricoles allemandes tels Toepfer/ADM et le fabricant de semences KWS. Jusqu’à présent environ 2,5 millions d’euros ont été investis. Dans ces formations les entreprise Bayer et BASF jouent également un rôle important.
    Si l’on tient compte de ce développement global, le gouvernement fédéral apparaît comme peu crédible lorsqu’il déclare: «Les décisions concernant la conception des structures agricoles sont soumises à la souveraineté de l’Ukraine. […] Dans ses projets de coopération bilatérale, le Ministère fédéral de l’Alimentation et de l’Agriculture (BMEL) met l’accent notamment sur la promotion des petites et moyennes entreprises […].»

    Lire la suite sur horizons-et-debats.ch

    et dans cette ruée cynique et perverse que va devenir Antoniets Semen Spiridonovitch ?

    http://www.dailymotion.com/video/xhtyvy_solutions-locales-pour-un-desordre-global-part4_people

     

    c'est pour quand la révolution ? Une bonne révolution, une vraie ! pas tendre du tout


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  • génocide en Irak

    Avant 2003 naissaient à Fallujah, 1050 bébés de sexe masculin pour 1000 bébés de sexe féminin. En 2005, il y a eu la naissance de seulement 350 garçons pour 1000 filles, ce qui signifie que les bébés de sexe masculin ne survivent pas, révèle le Dr. Chris Busby. 

    par Layla Anwar – ArabWomenBlues, 2 juillet 2010 :

     

    "Je viens juste de regarder une rediffusion d’une émission d’Al-Jazeera préparée par Ahmad Mansour - une entrevue avec le professeur Chris Busby. Le professeur Chris Bubsy est un scientifique et le directeur de Green Audit, et secrétaire scientifique du comité européen sur les risques liés aux radiations [European Committee on Radiation Risks].

     

    Le professeur Busby a produit beaucoup d’articles sur les radiations, l’uranium et la contamination dans des pays tels que le Liban, le Kosovo, Gaza et naturellement l’Irak.

     

    Je vais me focaliser ici sur ses dernières découvertes qui étaient le sujet du programme diffusé sur Al-Jazeera.

     

    Comme certains d’entre vous le savent, Fallujah est une ville interdite. Elle a été soumise à d’intenses bombardements en 2004, avec des bombes enrichies à l’uranium [DU] et au phosphore blanc, et depuis elle est devenue zone interdite - ce qui signifie que les autorités fantoches irakiennes et les forces d’invasion/d’occupation des États-Unis ne permettent à personne d’entreprendre une véritable étude dans Fallujah. Fondamentalement, Fallujah est sous état de siège.

     

    Il est évident que les Américains et les Irakiens savent quelque chose et le cachent au public. Et c’est là qu’entre en scène le professeur Chris Busby. Il était et est toujours résolu à aller au fond de ce qui s’est passé dans Fallujah en 2004. 

     

    Étant un des premiers scientifiques dans son domaine, il s’est lancé dans une étude sur Fallujah dont les résultats préliminaires seront publiés dans 2 semaines - si tout se passe bien.

     

    Le professeur Busby a rencontré beaucoup d’obstacles alors qu’il entreprenait ce projet. Ni lui ni personne de son équipe n’a été autorisé à entrer dans Fallujah pour y conduire des entretiens. Mais, dit-il, quand la porte principale se ferme, il faut trouver d’autres portes à ouvrir. Et c’est ce qu’il a fait. Il est parvenu à réunir une équipe d’Irakiens de Fallujah afin que ceux-ci mènent les enquêtes pour lui.

     

    Le projet de recherche s’appuie sur 721 familles de Fallujah, ce qui représente 4500 participants - vivant aussi bien dans des zones à niveau élevé de rayonnement que dans des zones à bas niveau. Les résultats ont été comparés avec un groupe de contrôle - un échantillon du même nombre de familles vivant dans une zone non radioactive dans d’autres pays arabes. Pour les besoins de l’étude ont été choisis trois autres pays pour la comparaison : le Kowéit, l’Egypte et la Jordanie.

     

    Avant d’aborder les résultats préliminaires, je dois noter ce qui suit :  

     

    => les autorités irakiennes ont menacé tous les participants de cette enquête d’arrestation et de détention si elles coopéraient avec les « terroristes » qui les interviewaient. En d’autres termes, elles ont été menacées d’être sous le coup de la loi anti-terroriste.  

     

    => Les forces des États-Unis ont interdit au Dr. Busby de recueillir n’importe quelle donnée, arguant du fait que Fallujah est une zone insurrectionnelle.

     

    => Les médecins de Fallujah ont décliné la demande de passer dans le programme télévisé d’Ahmad Mansour parce qu’ils avaient reçu plusieurs menaces de mort et craignaient pour leurs vies.

     

    En d’autres mots, l’étude a été entreprise dans des conditions très difficiles et représentant un danger pour la vie [des participants]. Mais elle a néanmoins été menée à bien.

     

    Comme le programme n’a pas été téléchargé sur Youtube, je ne peux pas donner de transcription mot-à-mot de l’émission. J’ai pris des notes rapides à la main et mémorisé le reste. Mais je ferai de mon mieux pour présenter tous les faits que j’ai appris aujourd’hui. Qu’est-ce donc que les Etats-Unis et leurs marionnettes irakiennes ne veulent pas que le public sache ? Et pourquoi ne permettent-ils aucune mesure des niveaux du radiation dans Fallujah, et pourquoi ont-ils même interdit à l’IAEA [International Atomic Energy Agency] d’entrer dans la ville ?

     

    Que s’est-il exactement passé dans Fallujah ? Quels étaient les types de bombes utilisées ? Était-ce uniquement des bombes à l’uranium ou y avait-il encore quelque chose d’autre ?

     

    1) Une chose qui est très impressionnante dans Fallujah est que les taux de cancer ont nettement augmenté dans un très court laps de temps, en fait depuis 2004. Voici des exemples fournis par le Dr. Busby :

     

    =>  le taux de leucémie d’enfant est de 40 fois plus élevé, depuis 2004, que pendant les années qui précédent. Et comparé à la Jordanie, par exemple, ce taux est de 38 fois plus élevé

     

    =>  le taux de cancer du sein est 10 fois supérieur à ce qu’il était avant 2004

     

    => le taux de cancer du système lymphatique est de 10 fois supérieur à ce qu’il était avant 2004.

     

    2) Une autre particularité à Fallujah est l’élévation dramatique du taux de mortalité infantile. Comparé à 2 autres pays arabes comme le Kowéit et l’Egypte qui ne sont pas affectés par les radiations, voici les chiffres :

     

    =>  le taux de mortalité infantile pour Fallujah est 80 enfants en bas âge sur 1000 naissances (80 pour 1000), alors que pour le Kowéit ce taux est de 9 enfants en bas âge sur 1000, et pour l’Egypte de 19 enfants en bas âge sur 1000. (Donc le taux de mortalité infantile en Irak est 4 fois plus élevé qu’en Egypte et 9 fois plus élevé qu’au Kowéit.)

     

    3) La troisième particularité à Fallujah est le nombre de déformations d’origine génétique qui a explosé après 2004. C’est un sujet que j’ai déjà traité dans le passé. Mais ce n’était pas une étude complète, et aujourd’hui j’ai appris autre chose. Les rayonnements produits par un agent qui a été employé par « les forces de libération » causent non seulement de très nombreux défauts d’origine génétique mais provoque également, et c’est très important, des changements structurels au niveau cellulaire.

     

    Quelles en sont les conséquences ?

     

    En raison du code génétique des enfants en bas âge de sexe masculin (manque de chromosome X), ceux-ci risquent plus de mourir à la naissance, et les enfants en bas âge de sexe féminin ont plus de chance de survivre à la naissance avec de fortes déformations. Et ici un autre exemple est fourni par le Dr. Busby : avant 2003 les taux de natalité dans Fallujah étaient comme suit : 1050 enfants de sexe masculin pour 1000 enfants de sexe féminin. En 2005, il y a eu la naissance de seulement 350 enfants de sexe masculin pour 1000 bébés de sexe féminin - ce qui signifie que les bébés de sexe masculin ne survivent pas.

     

    Quant aux bébés de sexe féminin, et c’est là que se trouve le pire de la tragédie... les radiations provoquent des changements au niveau de l’ADN, ce qui signifie que ces même enfants de sexe féminin, s’ils survivent et s’ils se reproduisent plus tard, donneront naissance à des filles génétiquement déformées et à des bébés de sexe masculin morts-nés.

     

    Les résultats mentionnés ci-dessus sont corrélés par d’autres études menées sur les enfants des enfants des survivants d’Hiroshima (en 2007) et qui prouvent que même la troisième génération affiche des malformations génétiques comprenant des maladies chroniques (cancer, coeur, etc...) à un taux 50 fois supérieur à la normale. À Chernobyl, d’autre part, les études sur des animaux de la même zone ont prouvé que les effets des rayonnements ont génétiquement modifié 22 générations. En somme les effets des rayonnements sont transmis de gène en gène et ont un effet cumulatif avec le temps (je n’entrerai ici pas dans le détail sur la façon dont cela se réalise. Vous pourrez lire plus d’explications à ce sujet une fois que le document du Dr. Busby sera édité).

     

    Certaines des déformations infantiles sont si terribles qu’Al-Jazeera et la BBC - qui a produit un documentaire sur le même sujet - ont refusé de diffuser certaines images. Les exemples de malformations dont les photos sont en la possession d’Ahmad Mansour sont :

     

    -  des enfants nés sans yeux

    -  des enfants avec deux et trois têtes

    -  des enfants nés sans orifices

    -  des enfants nés avec des tumeurs malignes au cerveau et à la rétine de l’oeil

    -  des enfants nés avec l’absence d’organes vitaux

    -  des enfants nés avec des membres manquants ou en trop

    -  des enfants nés sans parties génitales

    -  des enfants nés avec de graves malformations cardiaques.

    Etc ...

     

    Sur ces mêmes aspects, les médecins de Fallujah ont été invités pour les besoins de l’étude à noter les taux de malformations à la naissance en l’espace d’un mois et de comparer les chiffres avec le mois qui a précédé. Voici les résultats : en l’espace d’un seul mois, les seules naissances avec malformations dans le mois courant ont augmenté de 3 par rapport au mois qui précède (le mois courant indiqué pour l’étude était février 2010).

     

    L’uranium est introduit dans le sang par la digestion et la respiration. Les quantités extrêmement élevées d’uranium auxquelles les gens de Fallujah ont été soumis expliquent l’élévation vertigineuse des cancers des ganglions, des poumons, des seins et du système lymphatique chez les adultes.

     

    Il y a 40 autres secteurs fortement irradiés en Irak, mais Fallujah est LE PIRE DE TOUS.

     

    Rien qu’avec ces résultats préliminaires, le Dr. Busby et son équipe en ont conclu que par rapport à Hiroshima et à Nagazaki, Fallujah était pire. Et je cite de Dr. Busby : « La situation dans Fallujah est effrayante et affreuse, c’est encore plus dangereux et pire qu’à Hiroshima... »

     

    J’ai noté que ce sont des résultats préliminaires. Pourquoi ais-je noté cela ?

     

    Parce que le Dr. Busby a été harcelé. Il a vu se réduire ses fonds pour la recherches, et des portes se sont fermées sous sous nez. Il a été menacé (comme l’ont été d’autres scientifiques qui ont conduit des études semblables dans les années 90 en Irak), abandonné par la communauté scientifique, attaqué — en raison de la nature de son travail sur l’Irak. Les implications politiques sont énormes et dangereuses pour les Etats-Unis et leurs seconds couteaux. Cela montre bien que la preuve scientifique que des crimes de guerre ont été commis se trouve vraiment ici à portée de main ...

     

    En conséquence, la vie du Dr. Busby a été rendue très difficile. La publication sur les travaux de recherche pour lesquels il a énormément travaillé, a été envoyée au Lancet afin d’être soumise au comité scientifique de la revue. Le Lancet a retourné le projet d’article, disant ne pas avoir le temps de l’étudier. Des laboratoires ayant coopéré dans le passé pour examiner des échantillons les ont cette fois-ci retournés après avoir découvert que ces échantillons venaient d’Irak. Seuls 2 laboratoires sont disposés à examiner les mêmes échantillons pour trouver l’agent exact utilisé dans Fallujah - mais ils sont prêts à le faire uniquement à un prix tout à fait exorbitant à cause de la nature sensible de l’étude. Mais en raison du manque d’argent, le Dr. Busby attend les fonds nécessaires pour faire analyser une vingtaine d’échantillons provenant de Falluja et qu’il conserve soigneusement.

     

    Questionné par Ahmad Mansour sur ce qui l’incitait à persévérer, quand on considère tous les obstacles formidables qu’il a été obligé de surmonter, sa réponse a été :

    « Toute ma vie, j’ai cherché la vérité, je suis un chasseur de la vérité dans une jungle de mensonges. J’ai également des enfants. Les enfants sont non seulement notre futur, ils sont les porteurs des générations futures. Depuis 50 ans nous avons souillé la planète (avec les radiations) et nous faisons supporter cet héritage à nos enfants et petits enfants. Nous avons l’obligation pour les gens de Fallujah de découvrir la vérité »

     

    Interrogé sur la façon dont il peut poursuivre ses travaux sans financement et face à des portes se fermant devant lui, il a répondu :

    « Je compte sur la bonne volonté de personnes ici et là qui envoient de petites sommes d’argent, et je suis également fermement persuadé que si la porte principale se ferme, il faut en ouvrir d’autres. Quand il y a une volonté, il y a toujours un chemin. »

     

    Chapeaux bas devant vous ! Professeur Busby...

     

    J’incite toutes les personnes lisant ce courrier, toutes les personnes de conscience, je pousse tous les Irakiens (réagissez ! pour l’amour de Dieu !) et tous les Arabes pour prendre contact avec le Dr. Busby et faire une donation afin que les échantillons provenant de Fallujah puissent être examinés et que la vérité puisse être découverte. Et je finirai ce courrier avec une dernière citation de ce grand homme dévoué :

     

    « La vérité a des ailes qui ne peuvent être coupées. »

     

    Je dois m’arrêter ici. C’est déjà le matin et je n’ai pas encore dormi. J’ai voulu transmettre tout cela au monde... La question que je vais garder avec moi — si jamais je peux fermer l’oeil — est la même question que celle que j’ai toujours posée depuis 2003 : « Pourquoi ? Qu’est-ce que le peuple irakien, qu’est-ce que les enfants irakiens vous ont fait pour mériter tout cela ? »

     

    PS : Paola Pisi, rédactrice d’Uruknet a trouvé la vidéo de l’émission sur Youtube ; elle vient juste d’y être installée. Je ne sais pas comment elle a procédé car j’avais recherché cette vidéo pendant des heures. Merci Paola. Voici une autre personne dévouée à la Vérité. Si quelqu’un pouvait la traduire entièrement en anglais, j’en serai très heureuse.


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  • non ? et pour cause, on a tout fait pour faire disparaître sa mémoire.

    en anglais, le seul article que qu'elqu'un a eu le courage de rédiger sur Internet :

    http://blog.goo.ne.jp/nhkhh

    C H R O N O L O G Y

    Hiroshi HASEGAWA, NHK Chief Commentator
    Discovered Dead in NHK
    One month after 9/11 Events


    On October 17, 2001, there appeared a small article on Asahi Shimbun, one of the major Japanese newspapers, reporting a death of an NHK chief commentator, Hiroshi Hasegawa (55). He was allegedly discovered dead near the building of NHK Broadcasting Center. NHK is an equivalent of BBC in Japan.
    He was a specialist of international terrorism and was talking about 9/11 events in the NHK special program aired just a week before, on Oct. 10, 2001 pointing out the fact he had discovered that there were no Jews in the victims of WTC disaster. He told in the program that most of the Jewish employees working in WTC were curiously absent on the very morning of 9/11.This information is now shared quite widely now but he was the one who first pointed out the fact to the public on TV.

    Sep. 11, 2001: DAY 1 So-called "9/11 Events" happened.

    Oct. 10, 2001: DAY 29 (since 9/11) He was talking about 9/11 in a TV news program a month after the event.


    An NHK special news program on 9/11 Events was aired about a month after the events. Mr. Hiroshi HASEGAWA, as one of the panelists, mentioned the strange absence of Jewish people in the WTC victims according to his own intensive research. And he advised viewers to be cautious in accepting G. Bush’s statement that the perpetrators of 9/11 events are Arab terrorists. Mr. HASEGAWA may have been one of the closest to the truth about 9/11 events. In retrospect, at that moment NHK may have been the least duped TV station in the world thanks to him.

    Oct. 15, 2001: DAY 34 (since 9/11)
    Mr. HASEGAWA's body was found in NHK's premises before noon.

    The concrete situation is still unclear as only minimum information has been released by media. His body was allegedly discovered at the foot of the building. He was "apparently" fallen from the high window of his room, according to the newspapers. There was no note left behind.

    The disregard or cover-up of his death starts in Japanese media systematically.
    Strangely enough, His death was not reported on any media that day. Neither on NHK TV news, where he was working as a newscaster, nor on other commercial TV stations, nor on any newspaper in Japan. If such an unnatural death is reported to the police before noon, it will usually be press-released to be in time for evening newspapers. In the case of Mr. HASEGAWA’s death, there was enough time to appear on evening papers on the same day but it didn’t. Even if it was too late to appear on evening papers, there was plenty of time for TV afternoon news or evening news. Especially for NHK TV news, it might have been a wind-fall “scoop” which happened in its own premises. After all, no TV stations mentioned his death in their news time that day. This is a very exceptional and unusual case in the post-war history of Japanese media.

    Oct. 16, 2001: DAY 35 (since 9/11)
    “Lazy neglect” or “deliberate cover-up?”


    You could say that his death was disregarded by media because of some technical failure on the day of discovery. But even on the following day, the disregard continued whole day. His death was not mentioned on any media, no articles on any papers, no mention in any TV news time. This was very unusual even for a discovered unnatural death of ordinary people. Still more unusual for an unnatural death of a newscaster of NHK, who was talking on TV less than a week before. Why not reporting as it is right away? Was the Japanese media so lazy or negligent? Or was there any special reasons not to do so?

    Oct. 17, 2001: DAY 36 (since 9/11)
    “Embargo” was finally lifted but the articles on papers were unfairly small.


    Small articles about his death finally appeared on major Japanese papers on the third day of the discovery. But not on morning papers but on evening ones. The embargo continued more than 50 hours. And it might have been lifted possibly by someone or some power high up in Japanese media or in Japanese government or some foreign power, which had urged embargo itself. Every newspaper gave only a small space, about the size of a visiting card, with no picture of the victim, all telling similar curt stories. The articles on every paper sound like a common article about a car accident involving one casualty despite the telltale uncertainty of the cause of his death. No details were given although the news of his death took more than fifty hours to be released. As the articles of the news on newspapers were so small and so downplayed for an unnatural death, his death got very little attention in those days. Or it might have been a passable success for those who were busy behind.

    It might be “preemptive minimum media release.”

    Total disregard would be impossible anyway and would rather arouse even more suspicion in the end. In order to keep the attention to his unnatural death to the lowest level possible, it might have been "less unacceptable" to release the news of his death only with a disproportionately small space and with some cooling time of two days. Even such unfairly small articles might be useful later as evidence that newspapers didn't ignore his death completely. It appears to have been actually an act of "planting subterfuge" in hindsight.

    The police decided the case as a suicide even without performing autopsy. No relevant note was left behind. His family and those who were close to him were totally unable to think of any motives of his suicide.
    During the embargo of two days (more than 50 hours) in question no autopsy of his body was performed, which was unthinkable for a case of unnatural death of anybody. Moreover, no investigation as a possible murder case was initiated. The police didn't even mention of a possibility of "an accident." They simply decided it as "a suicide"  ruling out the possibilities of an accident and a murder without autopsy and further investigations.

    Since 2001

    NHK tried to dissociate its former chief commentator.
    Some people demanded NHK to provide them a copy of the TV program in which Mr. HASEGAWA appeared for the last time before his death. But NHK declined their request.

    Hiroshi HASEGAWA” has been a “TABOO” in Japanese media.

    No magazines have ever covered his unnatural and strange death since then. No TV stations have covered his suspicious death. No journalists have dared to mention the name Hiroshi HASEGAWA and his death. His death has been "taboo" in Japanese media since 2001. More than ten years have passed since his death and very few people remember his name now. Most Japanese believe that they enjoy freedom of speech in their democratic society without knowing his name, his death, his message and the existence of taboo about him in Japan even after more than ten years. If you have a Japanese friend, just ask him or her if they know the name "Hiroshi HASEGAWA of NHK."


    The information about him appears to be still controlled on the net.


    Mr. HASEGAWA's former existence and achievements seem to have been systematically erased on the Internet since then. Even NHK can’t erase every trace of its former able employee in their archives. True, there are records of his work at NHK as the chief commentator but only titles. No contents are available. As for most commentators, their work and records are usually available. Asfor Mr. HASEGAWA, only titles. Conversely, if NHK erased every trace of his activities including titles, that would only arouse even more suspicion. He was very active in his last several years as a chief commentator of NHK news. He had his regular serial program “To read Tomorrow” and his specialty was international affairs, defense and "international terrorism." When 9/11 events happened, he naturally took the leadership working on the event at NHK and, we could say, in Japan. He appeared in his own program, “To Read Tomorrow” 58 times from 1997 to 2001, October. But today no records are available to general public. They might be kept under lock and key deep in NHK. There must have been a lot of websites referring to those programs but very little can be found on the net now. They seem to have been systematically retrieved or erased.

    As for his pictures, which must have been circulating quite a lot as an experienced and reliable newscaster and commentator of NHK, there remains only one on the net now, which is small, grainy and pale (Look that again at the top of this page). Is this another example of "minimum exposure" to preempt more suspicion? This scarcity (single one!) is extremely unusual compared to the cases of other “peacefully”deceased newscasters. It smells of systematic erasure by some unseen power.

    Simple Questions:

    - Was there any relation between his unnatural death and his remark in NHK’s TV news program five days before his death?


    - If there was, was it because his remark was true or false?


    - Was his remark so inconvenient to somebody or some people on the planet?


    Mr. HASEGAWA should not be "a skelton in the closet." He is a hero. 

    There are a lot of mysteries about 9/11 events. Not a few people have died mysteriously, whether journalists or ordinary people in relation to the event. Some were trying to know the truth about 9/11 and others seem to have happened to know the truth about 9/11 unexpectedly. The people seeking the truth about 9/11 are often called “9/11 truthers.” Mr. Hiroshi HASEGAWA might have been the very first truther who was erased in his pursuit of the truth about 9/11. Journalists are curious by nature. True journalists cannot stop pursuing the truth. And the pursuit of the truth must not be oppressed or obstructed.

    We must not forget Mr.Hiroshi HASEGAWA and the meaning of his death.

    His death suggests the gravity of what he tried to show to the world. It also tells of his courage as a "truther." And the subsequent total silence about his death betrays the death of Japanese media itself. But please be careful of the following point; Japanese media has been dead not because Mr. HASEGAWA died but because it has been avoiding to talk about his death. He has been a skelton in the closet of Japanese media.

     

    *autre chose : deux mois après le 11 septembre il ya a eu aussi plein de microbiologistes qui sont morts, un peu partout dans le monde, en peu de temps et tous de façon bizarre, et à chaque fois la police a étouffer l'affaire en affirmant contre toute vraisemblance que ces morts plus étranges l'une que l'autre était "normale", et c'étaient tous des gens travaillant pour des projets en lien avec la guerre biologique ...
    http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article329

     

    Et pour revenir aux tours, vous vous souvenez j'espère du très important tmoignage de Barry Jennings dans la tour 7 ?

    Et vous avez que Barry Jennings est .... mort très subitement et mystérieusement, de quoi ? personne ne sait, qu'en dit sa famille ? disparue !

    Enquête ? Quelqu'un a essayé sur se propres deniers de payer un détective prvé, et devinez ce qui s'est passé ?

    On ne sait pas comment est mort Barry Jennings. Sa maison a été mise en vente et sa famille est introuvable. Dylan Avery a demandé à un privé d'enquêter sur la mort de Barry Jennings. Après quelques jours, le privé lui a remboursé ses honoraires et lui a demandé de ne plus jamais le contacter.

    Pour écouter le témoignage de Dylan Avery c'est ici.


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