• comment ça s'apelle un régime où ... ?

     

    comment on doit qualifier des hommes politiques qui  agissent ainsi ? (et ils savent ce qu'ils font)

    Quand les peuples d'Europe en tireront les conséquences ?


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  • Les règles de base des occidentaux pour les élections dans les pays en voie de développement Quelques principes occidentaux pour l’évaluation des élections dans les pays en voie de développement.

    1) Quand les candidats préférés des occidentaux gagnent, les élections sont libres et honnêtes. Et quand ils perdent, les élections sont certainement non libres et truquées.

    2) Les protestations violentes contre les élections gagnées par les candidats préférés de l’Occident doivent être fermement condamnées et les manifestants qualifiés de terroristes, de voyous et de foule enragée (imaginez-vous si les partisans de l’opposition libanaise s’étaient lancés dans des manifestations violentes contre les résultats du scrution au Liban) ; tandis que les manifestations violentes contre les ennemis des Etats Unis (comme en Moldavie) doivent susciter l’admiration (et dans ces cas, les manifestants sont qualifiés de « militants de la démocratie ».)

    3) Ce n’est pas par opposition à des élections libres que les gouvernements occidentaux interfèrent dans les élections et financent des candidats via des organisations occidentales de promotion de la démocratie.

    4) Les candidats (ou même les dictateurs) qui servent les intérêts occidentaux sont automatiquement qualifiés de « candidats réformistes » (même le tyran séoudien estprésenté comme animé d’un « esprit de réforme »), tandis que les candidats qui s’opposent aux intérêts politiques et économiques de l’Occident sont qualifiés d’ennemis de la réforme.

    5) Les états de services démocratiques des dictateurs s’améliorent immédiatement s’ils modifient leur politique envers les USA et s’ils manifestent la volonté de servir les intérêts politiques et économiques des USA.

    6) Si les candidats en faveur ne peuvent offrir la garantie d’une victoire électorale (comme l’instrument de l’Autorité Palestinienne Abou Mazen dont le mandat a expiré depuis deux mois), ils n’auront pas besoin d’organiser des élections et seront de toutes manières traités comme s’ils avaient remporté une élection.

    7) Les pays dont les dictateurs ont fait un bon boulot en servant les intérêts politiques et économiques des Etats Unis n’ont pas besoin d’organiser des élections.




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    Ahmadinedjad  Une modeste veste qui habille un esprit éclairé et une grande intelligence.

    "Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ils (les Alliés, ndlr) ont eu recours à l'agression militaire pour priver de terres une nation entière sous le prétexte de la souffrance juive", a expliqué M. Ahmadinejad.
    "Ils ont envoyé des migrants d'Europe, des Etats-Unis et du monde de l'Holocauste pour établir un gouvernement raciste en Palestine occupée", a-t-il affirmé, provoquant le départ de représentants de certains pays européens, dont la France.
    Ahmadi Nejad a également fustigé la couverture que ces états occidentaux accordent aux crimes commis par l'entité sioniste: " certains états utilisent leur pouvoir économique et médiatique pour couvrir les crimes israéliens" a-t-il déclaré.
    Le leader iranien a également critiqué l'impérialisme mondial, qu'il a accusé de vouloir "déstabiliser le monde entier pour ses intérêts"(… ) et en particulier pour avoir décidé les guerres contre l'Irak et l'Afghanistan avec la collaboration des sionistes, et ce afin de "s'accaparer les richesses de ces pays".
    La structure des Nations Unies et plus particulièrement celle du Conseil de sécurité qui accorde le droit de veto à cinq états a fait l'objet d'une dénonciation particulière de la part du président iranien qui a exigé des réformes qui accorde une participation plus juste des différents états du monde.
    Le président iranien s'est également prononcé sur la crise économique et financière actuelle révélant qu'il n'y voyait aucune solution. Selon lui, "le capitalisme mondial est en défection, et aura un destin similaire au communisme", en allusion à la chute de l'Union soviétique et de l'ancien bloc des pays communistes."
    (relisez ces propos: où y a-t-il le moindre appel au racisme là ? au contraire c'est un appel à la justice et une protestation au nom de l'humanité, les anticommunistes qui dénonçaient le Goulag étaient-ils des racistes anti-slaves ?Rigolant)

    Adresse aux menteurs :
    Trouvez dans ce discours un seul terme antisémite!

    Beaucoup ont applaudi son dicours et par exemple disent :
    "Là, ça fait chaud au cœur .
    Une modeste veste qui habille un esprit éclairé et une grande intelligence.
    Merci, Monsieur le Président.
    Chapeau bas !"

    et encore : "Cet homme est un héro !!!!!!!!
    Regardez comme les occidentaux sont sortis de la salle, quelle comédie!
    C est bien la preuve qu'ils ont aucun argument contre ahmadi Nedjad
    Si ce qu'a affirmé le président Iranien était faux, ils seraient tous rester pour le contrer.
    Bravo Monsieur le president de L'IRAN!"

    par contre Sarkozy a aussitot dénoncé là "un appel à la haine raciste" - mais dire qu'un Etat raciste est raciste est-il raciste ? Rigolant Ceux qui il y a quelques années accusaient le régime Sud-Africain d'être racistes se sont-ils à l'époque fait diabolisés et accusés d'être rempli de haine raciste ?! Rigolant

    où est la haine raciste ? n'est -elle pas plutôt chez le soldat qui a vidé son chageur dans le corps de la fillete qu'il venait d'abattre "to confirm the kill" ?

    pour ne pas parler du reste !

    Un juif Irakien, Naïem Giladi, qui avait dirigé un réseau pour faire sortir les juifs d'Irak en 1948 a dit dès les premiers mois après son arrivée en Israël la même chose qu'Ahmadinedjad : Israel est un Etat raciste :"J'étais désillusionné par ce que j'ai trouvé en Terre Promise, désillusionné personnellement, désillusionné par le racisme institutionnalisé,"

    Rarement une conférence des Nations unies aura donné lieu, en Occident, à une campagne aussi puissante de désinformation, de fantasmes et de mensonges.

     

    comparons les sources avec les phantasmes : http://www.tehrantimes.com/index_View.asp?code=192902

     

    Et pour revenir au sujet que les médias et les gouvernement occidentaŭ n'arrêtent pas de mettre sur le tapis, le nucléaire, voici le commentaire d'Ahmadinedjad:

    "C’est intéressant : des pays qui ont la bombe atomique eux-mêmes nous demandent de ne pas avoir de l’énergie nucléaire pacifique. C’est l’une des plus grosses plaisanteries de notre temps."

    Quan à savoir le degré de liberté en iran, qu'un pays (USA) prétend répressif sans liberté, alors qu'il est (les USA) le pays du monde qui a le plus haut taŭ d'emprisonement, 3,5 fois plus que l'Iran (et 7 fois plus que la Chine ! qui n'est pourtant pas un pays très libéral), difficile, Ahmadinedjad va, bien sûr! tous les hommes politiques font ça ! dire que dans =son pays reigne liberté et harmonie. Le mieŭ et d'y aller, oo au moins de voir DE VISU COMMENT VIVENT les iraniens, et c'est possible de nos jours grâce à Internet !

    Ĉerĉez sur Ipernity les galeris de photos postées par des iraniens.

    En voici quelques unes (et dans le lot il y en a un qui est très critique envers le régime actuel, les autres je ne sais pas):

    http://www.ipernity.com/home/47035 (une femme, kurde)

    http://www.ipernity.com/home/m.mirbozorgi (avec entre autre un reportage sur l'Achoura)

    http://www.ipernity.com/home/willyong (éduqué en Angleterre, mais d'origine iranienne est revenu vivre et photographier en Iran depuis un an)

    http://www.ipernity.com/home/reza.torabi le plus interessant, 2.700 photos, réparties en 40 albums !

    (et bien sûr il y en a encore d'autres, il suffit de ĉerĉer)

    tresaguichanteactriceducinemairanien.jpg


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  • v

     

    LOUCHE !

    Complément paru dans la revue "Tic-Tac" (n°4, 1995) :

    • Les services spécialisés de l'État recherchent le corps d'un homme décédé de mort naturelle et correspondant à un profil social précis. Appel est fait auprès des organismes locaux en connections avec les services de police et de gendarmerie. L'ordre vient de la hiérarchie supérieure de l'État en accord avec les services dont l'activité de manipulation est disposée à organiser tout type d'expérience sur la population.

    • Découverte du corps sans vie d'un homme d'une quarantaine d'années. Célibataire, cadre licencié, sans enfants, rapports distants avec la famille. Le corps est ramené sur la capitale.

    • Dans la semaine qui suit la mort d'un jeune dans un commissariat de police - assassinat qui sera suivi de protestations et d'affrontements avec la police - un homme pénètre dans une école maternelle de la ville dont est maire le principal conseiller en communication de l'État. Le choix d'une ville aisée n'est pas secondaire : ce maire doit y acquérir une notoriété. Le supérieur hiérarchique du maire, à savoir le président du conseil général , et à l'époque chef des forces de police au niveau national, pourra justifier de ses comportements, la prise d'otages d'enfants issus de familles aisées "ressoudera le corps social".

    • L'homme qui a pénétré dans l'école est masqué... Il restera masqué durant toute l'opération le visage dissimulé par une cagoule noire. Il aveugle les fenêtres d'une salle, et engage des pourparlers exigeant la livraison d'une importante quantité d'argent.

    • L'institutrice en charge de la classe au moment de l'intrusion de l'homme masqué se disant porteur de plusieurs kilos d'explosifs et d'un système de mise à feu s'occupe de calmer les enfants et d'engager les premiers moments de négociation. Cette institutrice, malgré ce que rapportera la presse par la suite, est une remplaçante de fraîche date. Sous les caméras, le maire va plusieurs fois à la rencontre de l'homme masqué. Un médecin vient porter aide à l'institutrice : il s'agit d'une femme présentée comme étant membre du corps des sapeurs pompiers. Elle est liée aux services spéciaux.

    • Les commandos de la police nationale circulent au milieu des journalistes et s installent sur les toits d'une manière ostentatoire.

    • Prétendument à l'insu de l'homme masqué, une caméra est installée dans la salle de classe. La supposée femme médecin affirmera par la suite qu'une boisson chargée de soporifiques sera apportée au preneur d'otages.

    • Le matin du troisième jour alors que l'école est entourée de plusieurs centaines de journalistes, ordre leur est donné de se retirer à 300 mètres du bâtiment Dans les instants qui suivent, les autorités rapportent que les commandos sont intervenus et ont abattu l'homme avec une arme munie d'un silencieux. Un journaliste affirmera, curieusement, avoir entendu les trois faibles détonations. Le corps est évacué immédiatement par les hommes du commando, eux-mêmes masqués. Les caméras de télévision pénètrent dans la salle de classe et filment une femme de ménage nettoyant le sol et effaçant ainsi les traces ; cela au détriment des plus élémentaires règles d'investigation. Le chef des forces de police publie un communiqué de victoire. Les explosifs ne seront jamais présentés physiquement à la presse.

    • Les forces de police révèlent le nom de l'homme masqué. La famille , comme c'est son droit demande à voir le corps. Demande refusée : le motif invoqué est que les impacts des balles ont défiguré le visage de l'homme à tel point que cela serait difficilement supportable pour la famille. La cassette du film prétendument enregistrée à l'insu de l'homme masqué disparaît. Elle restera introuvable.

    • Dans le mois qui suit, des articles de presse retrouvent la trace de l'homme masqué en la personne d'un individu ayant tenté d'attaquer des banques dans le sud du pays sous la menace d'explosifs. La nouvelle fait le tour du pays. Un journaliste se rend dans la ville en question, retrouve les employés de banques qui tous démentent de tels événements.

    • La sœur de l'homme présenté comme étant le preneur d'otages réitère sa demande de voir le corps de son frère et menace les autorités de poursuites en cas de refus. Celles-ci cèdent : le visage de l'homme ne présente aucune trace de balles. Pourtant les rapports de police parlent de 3 coups de feu tirés à bout portant par une arme de calibre 9 mm.

    • Plus d'une année passe avant qu'un organe de presse rende publics ce qu'il prétend être, captés par radio, les éléments sonores de l'exécution de l'homme masqué. A l'occasion de cette publication, on apprend que le policier désigné pour abattre le preneur d'otages avait été mis à pied quelques mois auparavant pour avoir utilisé abusivement son arme. Cet homme dont la carrière est en sursis acceptera ce rôle. La famille qui le poursuit pour assassinat, dans le cadre d'une procédure se soumettant à la version du chef de la police, verra ce policier acquitté lors de son passage devant le tribunal.

    • Alors qu'un syndicat d'avocats tente de remettre en question la thèse officielle à propos d'une supposée légitime défense dont aurait fait usage le policier désigné, en parlant d'exécution sommaire, le chef des forces de polices les menace et menace des plus graves poursuites judiciaires quiconque s'aventurerait à émettre des suspicions sur cette affaire .

    • Le maire de la ville est un héros. Le chef des forces de police jusqu'alors malmené pour ses excès retrouve toute sa crédibilité. Les exactions antérieures des policiers qui avaient soulevé quelques tollés sont oubliées. Les organes de manipulation et d'intoxication engrangent une nouvelle expérience pleine d'enseignement.


    Des questions sans réponses ?

    Question : Mais alors, qui est l'homme dans l'école ?

    Réponse : De la même équipe que ceux qui portent des cagoules et qui prétendent l'avoir abattu.

    Question : Pourtant, on a vu une civière sortant un corps de l'école ?

    Réponse : C'est exact, mois le corps était recouvert d'un drap.

    Question : Et les explosifs ?

    Réponse : Les explosifs sont à la disposition de n'importe quel corps de police. Si tant est qu'il y en ait eu, on n'aura jamais vu ce prétendu matériel ni à la télévision, ni dans la presse. Alors même que celles-ci sont particulièrement zélées pour présenter avec l'aide de la police, le maigre butin du cambriolage ou la saisie d'un stock de drogue.

    Question : Un coup comme ça, pour une simple histoire de politicien, semble vraiment exagéré.

    Réponse : C'est exact. Les politiciens sont des gens de passage au milieu d'institutions et d'organismes stables qui mènent des perspectives à long terme et souvent indifférentes du personnel politique momentanément en place. Par exemple, l'organisation des services spéciaux est largement indépendante des pouvoirs politiques. Il se trouve parfois qu'il y ait intérêt. commun et besoin réciproque ; c'est le cas. D'autant qu'en l'occurrence il fallait que des personnalités apparaissent publiquement et que les médias soutiennent l'affaire. Ce qui n'est pas toujours le cas.

    Question : Vous délirez.

    Réponse : Bien sûr. Autant que ceux qui ont reconnu post-festum que la jeune femme accusant les soldats irakiens de tuer les bébés dans les hôpitaux de Koweit-City était en fait la fille de l'ambassadeur US et que l'information était fausse. Autant que ceux qui avouent aujourd'hui que des services spéciaux ont délibérément fait des expériences de contamination bactériologique sur les populations de certaines villes américaines. Autant que ce qui affirmaient que derrière les bombes de la banque de l'Agriculture à Milan et de la gare de Bologne il y avait la main des services secrets. Autant que ceux qui ont fini par admettre que les destructions à l'explosif d'un relais de télévision et de lignes à haute tension en Bretagne dans les années 70 étaient l'œuvre de la DST.


    http://www.noslibertes.org/dotclear/index.php?

     

    et n'oublions pas surtout que :
     
    Les moutons robots qui acceptent le fascisme progressif sont aussi dangereux que nos décideurs politiques.


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