• pour légiférer sur les soins SANS CONSENTEMENT en psychatrie tout les députés sont absents, et la chose se fait à 4 rameutés au hasard : on peut avoir confiance on est bien défendus !!! ça fai

    la "démocratie" ne fait même plus illusion. Comme la vérité sort de la bouche des enfants, la vérité du régime sort de l'absence des députés feignants : On n'estplus en démocratie, mais soumis à un pouvoir arbitraire et dictatorial, et qui peut nous faire tout ce qu'il veut personne n'a ni de mandants, ni de garantie,ni de garde-fou, encore moin la moindre goutellette de démocratie, justement que notre société devien de plus en plus totalitaire. On est encore moins libres que sous les rois, ui devaient au moins respecter les traditions, les "libertés" acquises et les privièges divers et autres. Le seul salut qui resterait serait justement une révolution, mais on voit bien ue le peuple n'est pas prêt à risquer sa vie sur des barricades, et d'ailleurs l'hyper-police des robots-cops veille, on est totalement esclaves. Un coup d'Etat militaire ? mais y a-t-il des démocrates dans l'armée ?

    assemble_vide_04_08_2013.jpg

    Une photo symbolique qui EN DIT LONG, elle se trouvera peut-être un jour dans les manuels d'histoire.

    La dernière séance de la session extraordinaire de l'Assemblée nationale a débuté, jeudi 25 juillet, sans aucun député dans l'Hémicycle. A l'ouverture des travaux prévus pour 9h30, seuls le président de séance, l'écologiste Denis Baupin et le ministre délégué au Budget, Bernard Cazeneuve étaient présents sur les bancs de l'Assemblée, indique "Le Canard Enchaîné", mercredi 31 juillet.

    Un président de séance (le député (EELV) de la 10e circonscription de Paris, Denis Baupin) un ministre délégué au Budget, Bernard Cazeneuve, et aucun député. C'est ainsi qu'a débuté la dernière séance de la session extraordinaire à l'Assemblée nationale, programmée jeudi 25 juillet à 9h30. 

    Les fonctionnaires du Palais-Bourbon réussissent à rameuter deux parlementaires

    «Plutôt gênant, alors que l'Assemblée devait entendre un hommage aux victimes de la catastrophe ferroviaire de Saint-Jacques-de-Compostelle», précise "Le Canard Enchaîné". Et l'hebdomadaire satirique de poursuivre : «les fonctionnaires de l'Assemblée ont finalement réussi à rameuter deux malheureuses parlementaires». Les travaux ont donc pu débuter avec une affluence record de quatre personnes dans l'Hémicycle du Palais-Bourbon.

    Outre l'hommage rendu aux victimes de la catastrophe ferroviaire espagnole. Et après avoir attendu que des courageux arrivent en renfort, les parlementaires ont dû approuver diverses conventions internationales, le règlement du budget et les comptes de l'année 2012 avant de se pencher sur la thématique des «soins sans consentement en psychiatrie».


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