• 8/5/2004 La « possession » d'un chat est
    une éducation morale : elle vous habitue à être heureux de voir le bonheur
    d'autrui, même (et surtout) si on ne jouit pas du tout d'une vie aussi béate


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  • Dans le monde de civilisation iranienne, la Perse, mais aussi l'Asie Centrale, l'Ouzbékistan par exemple, les maisons traditionnelles comportent sous le porche de chaque maison particulière de
    chaque côté de la porte d'entrée, à l'extérieur, un banc maçonné, où les
    habitants de la maison venaient à l'occasion s'asseoir, (viennent toujours s'asseoir en Ouzbékistan!) mais où aussi n'importe
    quel passant pouvait s'asseoir comme il voulait. Quel contraste avec nos moeurs actuelles dans l'Europe moderne!.....
    Il y a comme un contraste de valeurs, là, et pas à notre honneur!

    (l'Ocident contemporain, quand il y a des pays où si vous venez sonner chez quelqu'un sans y aoir été invité vous pouvez être poursuivi par la loi! etc. Et les lois Sarkozy! hein?! qui empêchent les gens de s'asseoir sur le palier de leur propre immeuble, de leur propre domicile! Allez essayer d'expliquer ça aux roumains, qui viennent s'assoir à toute heure de la journées, tous ages confondus, sur le parapet de l'entrée de leurs immeubles, parfois pour papoter, parfois simplement, comme ça, et les vieilles qui sortent leur chaise pour mieux s'y installer le soir, allez leur expliquer qu'en France on leur passerait les menottes en les traitant d'"incivils" et que pour ça on les envoyerait en prison!
    Y-y'aurait pas quelque chose de pourri dans le royaume de Danemark?)




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  • - Qui se souvient de voix qui on enchanté la radio
    du temps où il y avait une radio, c'est à dire des années 50 et 60 ? Jean
    Nocher, Marianne Oswald, Stéphane Pizella, Béatrix Dussane, André Castelot,
    Roger Bourgeon, etc.


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  • On ne vit, on ne peut vivre, en fait que par rapport à
    autrui, même quand on ne s'en rend pas compte, même les enfants qui ont plaisir
    à être seuls, ĉar tiam ils vivent des personnages (et des mondes entiers des
    fois !) qu'ils imaginent, même quand on admire la nature, car en fait si
    on est capable de faire ça, et avec plaisir, c'est soit qu'on le fait à deux,
    soit même seul qu'on est dans une vie où il y a quelqu'un (ou -ques uns) qui
    vous réchauffe, qui vous nourrit, et vous aimante.



    Autrement il n'y plu ia ajn vivo ebla. Ia ajn.

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