• comme quoi le bon sens et la "naïveté" permettent de de se rendre compte de bien problèmes et de remettre les choses en place

    http://2ccr.unblog.fr/files/2011/07/commentonvolelesmineurs.pdf


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  • Citations du Talmud

    1. « Nous te prions, Ô Seigneur, inflige ta colère sur les nations qui ne croient pas en Toi. Ô Seigneur, retire leur tout espoir. Détruit tous les ennemis de ton peuple. » Synagaga Judaica, p. 212. Minhagen, p. 23. Chaîne Crach, 480 Magah.

    2. « Les enseignements du Talmud sont au-dessus de toutes les autres lois. Ils sont plus importants que les lois de Moïse. » Rabbin Issael, rabbin Chasbar, et autres.

    3. « Les décisions du Talmud sont les paroles du Dieu vivant. Jéhovah lui-même demande l'avis des rabbins terrestres quand il y a des affaires difficiles dans les cieux. » Rabbin Menechen, commentaire sur le cinquième livre

    4. « Jéhovah lui-même étudie la loi du Talmud, il a un tel respect pour ce livre. » Tract Mechillo

    5. « Il est plus mauvais de douter des paroles des rabbins que de celles de la Torah. » Michna Sanhedryn 11:3

    6. « Il est interdit de divulguer les secrets de la loi. Celui qui le ferait serait aussi coupable que s'il détruisait le monde entier. » Jektat Chadasz, 171, 3

    7. « Tout goy qui étudie le Talmud et tout Juif qui l'aide en cela, doit mourir. » Sanhedryn, 59a, Aboda Zora 8-6, Szagiga 13

    8. « Communiquer à un goy quelque chose concernant nos lois religieuses équivaudrait à assassiner tous les Juifs, car si les goïm savaient ce que nous enseignons à leur sujet, ils nous mettraient à mort publiquement. » Libbre David 37

    9. « S’il est demandé à un Juif d’expliquer une partie des livres rabbiniques, il ne devra donner qu’une fausse explication. Celui qui un jour violerait cet ordre devrait être mis à mort. » Libbre David 37

    10. « Un Juif peut et doit faire un faux serment quand les goïm demandent si nos livres contiennent quelque chose contre eux. » Szaaloth-Utszabot, Le Livre de Jore Via 17

    11. « Les Juifs sont des êtres humains, mais les nations du monde ne sont pas des êtres humains mais des bêtes... » Saba Mecia 114, 6

    12. « Quand le Messie viendra, chaque Juif aura 2800 esclaves. » Siméon Haddarsen, fol. 56-D

    13. « Jéhovah a créé le non-Juif sous forme humaine afin que le Juif n’ait point à être servi par des bêtes. Le non-Juif est donc un animal de forme humaine, condamné à servir le Juif jour et nuit. » Midrasch Talpioth, p. 225-L

    14. « Dès que le Messie Roi se déclarera, il détruira Rome et en fera un désert. Des épines et de mauvaises herbes pousseront dans le palais du pape. Puis il entamera une guerre sans merci contre les non-Juifs et ils seront écrasés. Il les tuera masses, tuera leurs rois et dévastera le pays romain entier. Il dira aux Juifs : « ...Je suis le Messie Roi que vous attentez. Prenez l'argent et l'or des goïm. » Josias 60, 6. Rabbin Abarbanel à Daniel 7, 13

    15. « Une fille de Gentil de trois ans peut être violée. » 9boda Sarah 37

    16. « Un Juif peut violer mais pas épouser une fille non juive. » &ad. Shas. 2:2

    17. « Un Juif peut faire ce qu’il veut à une non-Juive. Il peut la traiter comme il traite un morceau de viande. » Hadarine, 20, B ; Schulchan 9ruch, Choszen Hamiszpat 348

    18. « Un Juif peut abuser la non-juive dans son état d'incrédulité. » Maïmonide, Jak. Chasaka 2:2

    19. « Si un goy tue un goy ou un Juif, il est responsable, mais si un Juif tue un goy, il n'est pas responsable. » Tossefta. 9boda Za,-a 8, 5

    20. « Il est permis de tuer un dénonciateur juif partout. Il est permis de le tuer avant même qu'il dénonce. » Schuichan Qruch, Choszen Hajpiszpat jog

    21. « Tu ne feras pas faire de mal à ton voisin (Bible), mais il n'est pas dit : "Tu ne feras pas de mal à un goy". » Mishna Sanhedryn 57

    22. « Quand vous partez en guerre n’y allez pas en tête mais en dernier, de sorte que vous puissiez revenir en premier. Cinq choses recommandées par Kanaan à ses fils : « Aimez-vous mutuellement, aimez le vol, haïssez vos maîtres et ne dites jamais la vérité. » Pesachis F. 113B

    23. « Un Juif a le droit de violer, de tricher et se parjurer ; mais il doit prendre soin de ne pas être découvert, de sorte qu'Israël ne puisse en souffrir. » Schulchan Aroukh, Jore Dia

    24. « Un Juif peut voler un goy – c’est-à-dire, il peut le rouler dans une facture, s’il y a peu de chances qu’il s’en aperçoive. » Schalchan Arach, Choszen Hamiszpat 348

    25. « Si un goy demande à un Juif de témoigner contre un Juif dans un tribunal, et si le Juif peut fournir un témoignage acceptable, il lui est interdit de le faire ; mais si un Juif demande à un Juif d’être témoin dans une affaire similaire contre un goy, il peut le faire. » Schalchan .9ruch, Choszen Hasiszpat 28, Art. 3 et 4

    26. « Ceux qui ne reconnaissent pas la Torah et les prophètes doivent être tués. Qui a le pouvoir de les tuer, les passera publiquement au fil de l'épée. Si non, user d’artifices, jusqu'à ce qu'ils soient supprimés. » Schulchan Qruch. Choszon Haviszpat 425,5

    27. « Tous les biens des autres nations appartiennent à la nation juive, qui est par conséquent en droit de les saisir sans aucun scrupule. Un Juif orthodoxe n'est pas tenu d'observer les principes de la morale à l’égard des gens des autres tribus. Il peut agir contrairement à la morale, si c'est profitable pour lui ou pour les Juifs en général. » Arach Schalchan. Choszen Hasisxpat 348

    28. « Si un Juif informe les autorités goy qu'un autre Juif a beaucoup d'argent et que l'autre en subit une perte, il doit lui donner une rémunération. » Schalchan Oruch, Choszen Maipiszpat 388

    29. « Comment interpréter le mot "vol". Un goy n’a pas le droit de voler, de cambrioler un goy ou un Juif, ni de s’emparer de leurs femmes esclaves, etc. Mais il n’est pas interdit à un Juif de faire tout cela à un goy. » Tosefta, Qbda Zara VIRZ, 5

    30. « On considère la maison du goy comme le parc à bestiaux. » Tosefta, Erabin VZZ, 1

    31. « Vœu, serment, promesse, engagement et jurement, tout ce qui débute ce même jour de la réconciliation jusqu’au prochain jour de la réconciliation, nos intentions de vœu, promesse, et nos engagements à les remplir, dont nous nous repentons à l'avance ; tout est illégitime, acquitté, anéanti, aboli, sans valeur, sans importance. Nos serments ne seront pas des serments, et nos engagements ne seront pas du tout des engagements. » Schulchan 9ruch, Edit 1, 136.
    Le Kol Nidré juif, l’annulation de tout serment et vœu, se prête à une musique juive morbide, et on l’entend souvent à la radio. Il est entonné comme un chant à chaque Yom Kippour [service du nouvel an juif, le 17 septembre].

    32. « Tout ce dont a besoin un Juif pour son rituel à l'Église, aucun goy n’est autorisé à le fabriquer. Seul un Juif en a le droit, car cela doit être fait par des êtres humains, et le Juif n'est pas le droit de considérer les goïm comme des êtres humains. » Schulchan Oruch, Orach Chaiw 14, 20, 32, 33, 39. TaIDud Jebamoth 61

    33. « Non seulement une sage-femme juive est autorisée à aider une mère juive le samedi (sabbat juif), mais elle en est obligée, et, ce faisant, faire autre chose serait profaner le samedi. Mais il est interdit d'aider une femme non-juive, même s’il doit être possible de l'aider, sans profaner le samedi, car elle ne doit être considérée que comme un animal. » Schulchan gruch, Orach Haïm 330

    34. « Au moment de Chol Hamoed les transactions de tout type d'affaire sont interdites. Mais il est permis de tromper un goy, car escroquer les goïm plaît au Seigneur à tout moment. » Chuichan Qruch, Orach ChaiD 539

    35. « Il est strictement interdit aux Juifs de rouler leurs frères et il est déjà considéré comme trompé si un sixième de la valeur lui a été prise. Celui qui a escroqué son frère doit le dédommager. Naturellement tout cela ne concerne que les Juifs, duper un goy est permis et il n'est pas permis de lui rendre ce qui lui a été escroqué car la Bible dit : « Tu ne tromperas pas ton prochain, ton frère, » car les non-Juifs ne sont pas nos frères, mais, comme mentionné ci-dessus, pire que des chiens. » aruch hoszen Haniszpat 227


    Et d'autres sources provient ce qui suit :

    À New York, les menorahs juives font partie des spectacles de la ville pendant Hanoukka, comme le sont les étoiles islamiques et le croissant pendant le Ramadan. Les scènes de Nativité à Noël sont toutefois interdites. Même chose à Palm Beach, en Floride (oui, c'est Palm Beach... la ville des fameuses pluies de bouts de papiers). Ces deux villes sont des foyers de l'activisme juif. Précurseurs de ce qui est en magasin pour le reste de la Zunie.

    Naturellement, le Talmud brille assez par ses expressions d'animosité envers les goïm (vous et moi) et, surtout, le christianisme, qui tend simplement l'autre joue. Je voulais juste donner quelques exemples, mais je vais laisser cette liste s’allonger un peu, juste assez pour que vous ayez un aperçu de la gravité de l'hostilité envers nous que l’on trouve dans les enseignements juifs – une hostilité qui a conduit à tant de choses désormais mauvaises pour la Zunie, dont, évidemment, l’abrogation de Noël.

    « Un Juif ne doit pas s'associer avec des gentils. » Hilkoth Maakhaloth, Ch. IX.

    « Le Juif n'a pas le droit de considérer les goïm comme des êtres humains. » Schulchan Oruch, Orach Chaiw 14, 20, 32, 33, 39. TaIDud Jebamoth 61.

    « Bien que le non-Juif ait la même structure corporelle que le Juif, il est comparable à un Juif comme un singe à un humain. » Schene luchoth haberith, p. 250 b

    « Mangez avec un Gentil, c’est comme manger avec un chien. » Tosapoth, Jebamoth 94b

    « C'est la loi que de tuer quiconque refuse la Torah. Les Chrétiens sont de ceux qui refusent la Torah. » Coschen hamischpat 425 Hagah 425. 5

    « (Jésus-Christ était) illégitime et conçu pendant la menstruation. D’une mère prostituée. » Kallah 1b. (18b)

    « Le taux de natalité des Chrétiens doit être réduit d’une manière appréciable. » Zohar (II 64b)

    « Les Juifs doivent toujours essayer de tromper les Chrétiens. » Zohar (1, 160a)

    « Les Juifs n’ont pas à empêcher la mort d'un Chrétien. » Choschen Ham (425 5)

    « Ne sauvez pas les Chrétiens en danger de mort, ordonnez de les laisser mourir. » Hilkkoth Akum (x, 1)

    « Même le meilleur des Goïm [Chrétiens] doit être tué. » Abhodah Zarah (25b) T

    « Si un Juif tue un Chrétien, il ne commet aucun péché. » Sepher Or Israel 177b

    « L’extermination des Chrétiens est nécessaire. » Zohar (11 43a)

    « Ne faites pas d’accord et ne montrez aucune pitié envers les Chrétiens. » Hilkhoth Akum (x, 1)

    « Les Chrétiens sont idolâtres. » Hilkhoth Maakhaloth

    « Les Chrétiens ont des rapports sexuels avec des animaux. » Abhodah Zarah (22a)

    « Les femme juives sont contaminées lors de rendez-vous avec des Chrétiens. » Iore Dea (198, 48 )

    « Innocent de meurtre si l'intention était de tuer un Chrétien. » Makkoth (7b)

    « Les Chrétiens est comparable aux vaches et aux ânes. » Zohar II (64b)

    « Les psalmiste comparent les Chrétiens à des bêtes. » Kethuboth (110b)

    « Les rapports sexuels avec les Chrétiens sont comme ceux avec les bêtes. » Sanhédrin (74b)

    « La semence [les enfants] des Chrétiens a la même valeur que la semence d'une bête. » Kethuboth (3b)

    « Les juifs qui font du bien aux chrétiens ne se relèveront pas après leur mort [*]. » Zohar (1, 25b)
    [* Ndt : Comme on peut le vérifier facilement dans le petit livret sur le Zohar de la collectionQue Sais-je, ce livre enseigne la réincarnation.]

    « Les Juifs doivent cacher leur haine des Chrétiens. » Iore Dea (148, 12H)

    « Le bien des Chrétiens appartient au premier Juif qui le demande. » Babha Bathra (54b)

    « Gardez tout trop-perçu par erreur des chrétiens. » Choschen Ham (193, 7)

    « Il est permis à un Juif de tromper les Chrétiens. » - Babha Kama (113b)

    « Le Juif peut tromper les Chrétiens. » Iore Dea (157, 2) h

    « Le Juif peut mentir et se parjurer pour condamner un Chrétien. » Babha Kama (113a)

    « Le nom de Dieu n'est pas profané quand un Juif ment aux Chrétiens. » Babha Kama (113b)

    « Le Juif peut faire un faux témoignage quand il ment sur les Chrétiens. » Kallah (1b, p. 18 )

    « Les Juifs peuvent jurer faussement en utilisant un subterfuge de formulation. » Schabbouth Hag (6d)

    « Les Chrétiens qui ne sont pas des ennemis des Juifs doivent aussi mourir. » Iore Dea (158, 1)


    French Hindi
    1789 में हम उस http://rue-affre.20minutes-blogs.fr/archive/2011/06/09/les-femmes-sont-des-salauds-comme-les-autres.html से भी कम समय के लिए guillotined था

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  • Un Guéré pro-Gbagbo raconte à son ami des scènes du génocide
    Posted by Editor on May 10th, 2011 // No Comment

    Un Guéré pro-Gbagbo raconte à son ami des scènes du génocide
    Les Guéré sont une communauté de l’Ouest ivoirien, dont les membres ont été massacrés lors du génocide de Duékoué depuis le 28 mars que les forces de Ouattara ont occupé cette région sympathisante de Laurent Gbagbo. Voici un message qu’un jeune Guéré a envoyé à son ami afin d’annoncer à ce dernier la mort de son père assassiné par les forces de Ouattara en même temps que celle d’autres Guéré, ainsi que sa propre miraculeuse évasion des mains des FRCI…

    Lettre d’un Guéré pro-Gbagbo à son ami

    sa me fait plaisir d’entendre que tu es parti mon frère.
    je viens d’apprendre, la mort de ton père à l’instant même, par mon père au téléphone.
    les rebelles ont gâché beaucoup chez nous.
    tu sais quoi ? moi mon père est morts ressuscité,
    pourquoi je dis sa ?
    parce que les gars l’on trouvé, à la maison chez nous au carrefour, le même groupe de rebelles l’on attrapé, lui et et xxxxx(le vieux père qui chez les djèfs, chez les afaï clohoun), ils ont égorgé lucien et par les cris de mon père, les mauritaniens qui assistaient la scène horrible, on demandé pardon, les gars ne voulaient rien savoir il l’on fauché et quand celui qui l’a fauché a armé son AK 47 pour tirer sur lui, les mauritaniens lui on proposé 100 000 Frs en demandant pardon, ils ont pris l’argent frappé mon vieux et l’on laissé.
    les mauritaniens lui on donné un boubou pour porter comme déguisement pour sortir du quartier. voilà comment il a eu la vie sauve.
    quand à mon oncle [xxxx], qui est chef du village, (celui qui tenais son maquis à coté de la cours de xxxx), il a fui avant que les gars ne prennent la ville, il est allé se caché à logosso sur la route de guiglo, on ne sait pas comment ils l’on repéré, ils sont allés le cherché là bas pour venir l’exécuter à Duékoué, ils l’on égorgé.
    j’ai perdu biens d’autre neveux et cousin de Zia que tu ne connais pas mais en tous et pour tous j’ai perdu 18 personnes de ma famille dans ce carnage au carrefour. à abidjan, moi j’ai été détenu une journé dans leur fief parceque sur ma pièce d’identité, c’est marqué Etudiant, et je suis guérré donc on m’a taxé de milicien.
    c’était quand même vrai par ce que j’avais été enrolé et j’ai fuis les combats un jours avant l’arrrestation du PR.
    et à la vue de ma pièce d’identité, il y avait les traces de la formation militaire, les blessures quant on rempais, et les ampoules dans la main à cause des tirs avec les Kalach. il m’ont pris à Adjamé, et déporté à Abobo dans une vieille école publique qui est au SAMAKé.
    ma détention a coïncidé avec l’arrestation du PR Gbagbo le lendemain, dans leur euphorisme, leur joie, j’ai pu m’échappé, je rend gloire à Dieu heureusement que Abobo est ma zone et je maitrise ce quartier sinon j’était resté et d’ailleurs même on aurais pu m’abattre depuis Adjamé comme ils l’on fait pour beaucoup d’autres miliciens.
    c’est la grâce de DIEU.
    donc voilà un peu mes nouvelles mon frère.
    je suis désolé pour ton vieux,
    ce que je peux te dire, console toi et dis toi que quelque soit l’age d’un père on s’attend toujours à le voir disparaître un jours ou l’autre, mais la douleur réside dans les conditions de son depart, ainsi vas la vie.

    Côte d’Ivoire : Début de panique à l’Elysée – Sarkozy exige que Ouattara nomme un Premier ministre LMP pro-GBAGBO en lieu et place de Guillaume SORO
    IvoireBusiness – Plus d’un mois après avoir été porté par la France à la tête de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara peine véritablement à décoller. L’hebdomadaire français « Le nouvel

    observateur » dans sa parution du 04 mai lève un coin de voile sur la panique qui commence à s’emparer de l’Elysée où on commence à devenir nerveux devant les contre-performances du Gouverneur Ouattara.

    “Le nouvel observateur” fait en effet un clin d’œil à la grosse impasse politique ivoirienne actuelle, et confirme la thèse selon laquelle les arrestations arbitraires et les assassinats continuent toujours en Côte d’Ivoire malgré que le Président “Gbagbo” et son épouse soient en résidence surveillée respectivement à Korhogo et à Odienné dans le nord du pays.

    De sources concordantes, deux militaires des forces de défense et de sécurité (Fds) venus faire allégeance à “Ouattara” au Golf hôtel, y auraient été exécutés sans autre forme de procès. Mais, “ALASSANE Ouattara” a d’autres problèmes à gérer. Entre autres dossiers brûlants, le Premier ministre “Guillaume Soro” dont le remplacement exigé par la France pourrait créer des problèmes au Président “Ouattara”…

    “Alassane OUATTARA” a peut-être commis l’erreur de promettre la primature à tour de bras. Alors que le Pdci-Rda “d’Henri Konan Bédié” attendait tout sagement ce qui lui revient au terme de la campagne présidentielle,”M. Ouattara” a maintenu “Soro” qui ne serait plus prêt à perdre son poste de Premier ministre. De sources diplomatiques, la France ferait une impressionnante pression suivie de menaces à peine voilées sur “ALASSANE OUATTRA” afin que celui-ci nomme un cadre de la majorité présidentielle(Lmp) ” proche du Président “Gbagbo» au poste de Premier ministre.

    Il est difficile à “ALASSANE OUAATTARA” de faire partir “Guillaume Soro” contre son gré du poste de Premier ministre. Ce dernier a fait irruption en politique avec des hommes chargés de fusils d’assaut, lui-même arborant un ensemble vert treillis et chaussé en brodequins. Le premier de ses atouts reste et demeure son armée. Les forces nouvelles toujours prêtes à lui obéir à l’image des “ISSIAKA Ouattara” alias “Watao”, “Touré Hervé” alias “Vétcho”, “Morou Ouattara”, “Fofié Kouakou” et bien d’autres chefs de guerre qui ont jusqu’ici constitué l’épine dorsale des stratégies de pression de “Guillaume Soro” dans toutes les négociations et accords politiques.”Guillaume Soro” se serait retranché avec son cabinet politique à “Bouaké”, son fief du nord où il peaufine sa stratégie, laissant en base arrière à Abidjan quelques fidèles en arme dont “Wattao”, sous chef d’état major des “Fafn”.C’est un signal fort que le secrétaire général des forces nouvelles entend ainsi envoyer à quiconque voudrait le priver de son butin de guerre.

    En attendant que le couple “Sarkozy-Ouattara” trouve la solution à l’énigme “Soro”, des nouvelles boites de pandores se sont ouvertes béantes les unes après les autres. Parmi elles, l’insécurité ambiante dans le district “d’ABIDJAN” et toutes les villes de Côte d’Ivoire. Tout le monde s’en inquiète même les guerriers venus du nord. Bien que “Laurent Gbagbo” ne soit plus à la tête de l’Etat ivoirien tel que l’a voulu la communauté internationale pilotée par “Nicolas Sarlozy”, “Barack Obama”,”Ban Kimoon”, “YJ Choi”, l’Union africaine, la Cedeao et les militants du “RHDP”, l’ombre de “Laurent Gbagbo” continue de planer sur la Côte d’Ivoire. Un coup d’Etat ne semble pas suffire pour effacer “Laurent Gbagbo” dans l’esprit des ivoiriens…”Ainsi le France politique sarkoziste semble être rattrapée par le piège de ses contradictions idéologiques néocoloniales. Plus que jamais sa volonté manifeste de planifier une Côte d’Ivoire sans “Gbagbo” semble malheureusement voler en éclats… wait and see!!!(Attendons pour voir, disent les anglo-saxons)!

    Yves T Bouazo

    Mardi 10 Mai 2011

    LVDPG – Presse Gabonaise & Internationale

    Côte d’Ivoire/Yopougon: Les forces loyales au nouveau chef d’Etat se livrent à des perquisitions et exécutions sommaires
    Les forces loyales à Alassane Ouattara, le nouveau chef d’Etat ivoirien, se livrent à des perquisitions de domiciles et à des exécutions sommaires des personnes jugé proches du Présiden Laurent Gbagbo dans certains sous-quartiers de la commune de Yopougon, a-t-on appris de plusieurs sources concordantes.

    « Certains enfants ont été traumatisé car lorsqu’ils sont arrivés, ils ont mis tout le monde à genou, femmes, enfants, jeunes, vieux et ont braqué les Kalachs sur la tempe des gens »raconte ce père de famille. Médecin dans un hôpital de la capitale, il a été « littéralement » dévalisé.

    D’autres sources révèlent que les quartiers comme Locodjro, Abobo-Doumé, Koweït, Camp Militaires, Toits rouges voient les habitants fuir leurs maisons.

    “Nous ne pouvons plus rester ici parce qu’on recherche les Guéré et les Bété pour les tuer. On dit que les miliciens étaient des Guéré et les Bété les auraient aidés”, affirme un habitant fuyant la commune de Yopougon.

    Plusieurs centaines d’autres sont portées disparues. De nombreux témoignages rapportent des massacres et exécutions sur indication. A l’ouest, toutes les organisations internationales présentes sur le terrain s’accordent sur l’existence « de massacres d’envergure dirigés contre les ressortissants Guéré proches de Laurent Gbagbo et commises par les forces d’Alassane Ouattara».

    Une vague de violences dirigées principalement contre les proches de Laurent Gbagbo, suite à sa capture le 11 avril par la coalition Licorne-ONUCI-combattants pro-Ouattara. Des centaines de personnes avaient été arrêtés « arbitrairement » puis déportées dans des camps au nord du pays.

    Source : Directscoop

    Perquisitions et executions sommaires par les Frci a Yopougon

    Les combattants de Ouattara Alassane se livrent à des perquisitions de domiciles et à des exécutions sommaires de personnes proches du Président Laurent Gbagbo dans certains quartiers de la commune de Yopougon, a-t-on appris de plusieurs sources concordantes. Plusieurs maisons ont été pillées par les combattants d’Alassane Ouattara dont celle d’un médecin situé au Nouveau quartier. « Certains enfants ont été traumatisé car lorsqu’ils sont arrivés, ils ont mis tout le monde en genou, femmes, enfants, jeunes, vieux et ont braqué les Kalachs sur la tempe des gens », témoigne une habitante du Nouveau quartier. Selon un autre témoin, dans les quartiers comme Locodjro, Abobodoumé, Koweït, Camp Militaires, Toits rouges, certains habitants quittent leurs maisons pour se réfugier ailleurs. « Nous ne pouvons plus rester ici parce qu’on recherche les Guéré et les Bété pour les tuer. On dit que les miliciens étaient des Guéré et les Bété les ont aidés », affirme un habitant fuyant la commune de Yopougon. Une vague de violences dirigées principalement contre les proches de Laurent Gbagbo, Président ivoirien investi selon les lois constitutionnelles du pays, suite à sa capture le 11 avril par les forces françaises puis remis aux combattants d’Alassane Ouattara. Des centaines de personnes avaient été arrêtés « arbitrairement » puis déportées dans des camps au Nord du pays. Plusieurs centaines d’autres sont portées disparues. De nombreux témoignages rapportent des massacres et exécutions sur indication. A l’ouest, toutes les organisations internationales présentes sur le terrain s’accordent sur l’existence « de massacres d’envergure dirigés contre les ressortissants Guéré proches de Laurent Gbagbo et commises par les forces d’Alassane Ouattara».

    Côte d’Ivoire : clarifications attendues de la part de la France et de l’ONU
    10 mai 2011 par Survie

    L’attention internationale semble s’être détournée de la Côte d’Ivoire, beaucoup considérant que l’arrestation de Laurent Gbagbo a mis un terme à la crise ivoirienne. Pourtant, les menaces sur les populations de l’ouest et d’Abidjan n’ont pas cessé et le processus de réconciliation qui se dessine ne laisse pas présager la fin de l’impunité. L’association Survie signale l’existence de documents qui jettent le trouble sur le rôle de la France et de l’ONU dans la crise ivoirienne et invite les représentants concernés à donner les clarifications nécessaires.

    L’association Survie s’inquiète du contenu des documents publiés, les 8 et 13 avril, par le juriste et journaliste Matthew Lee sur son blog Inner City Press [1]. Ces documents – d’origine française selon le journaliste – jettent le discrédit sur l’action de la France et de l’ONU en Côte d’Ivoire. Charles Konan Banny et Kofi Annan, aujourd’hui impliqués dans le processus de réconciliation, s’y retrouvent mêlés à une « opération non confirmée » que devaient préparer « Licorne et les casques bleus », destinée à « contrer les partisans du processus de paix » [2]. La nomination, à la tête de la « Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation », de Charles Konan Banny, homme politique aux ambitions présidentielles, au détriment d’un juriste reconnu ou d’un représentant de la société civile, n’offre aucune garantie d’indépendance. En outre, l’absence du mot « Justice » dans le libellé de cette commission est un très mauvais signe adressé aux populations qui sont toujours en grand danger.

    Par ailleurs, si l’on note la publication du rapport S/2011/271 du Groupe d’Experts de l’ONU, dont l’association Survie signalait, dans son communiqué du 6 avril, le blocage depuis le mois de septembre, il convient de dénoncer le retard inacceptable avec lequel il est rendu public. À la lecture de ce rapport, on regrette que le Comité des sanctions de l’ONU n’ait pas alerté le Conseil de Sécurité des conditions inappropriées dans lesquelles le scrutin présidentiel allait se dérouler. Les experts montrent que, loin de se préparer au désarmement avant les élections, comme l’exigeaient les accords de Ouagadougou, les Forces Nouvelles favorables à Alassane Ouattara préparaient la reprise du conflit armé qu’elles avaient déclenché en 2002. Le désarmement faisait pourtant partie intégrante du mandat des casques bleus et de la force française Licorne. Il devait aussi être un élément essentiel de la certification de l’ONU dans le processus de sortie de crise. Le réarmement des Forces Nouvelles et leur refus croissant des inspections de l’ONU avaient d’ailleurs amené les experts à suggérer la prise de sanctions contre deux commandants de zone [3]. Loin d’être inquiétés, l’un a mené l’offensive récente dans l’ouest et l’autre des combats dans Abidjan sans que personne ne s’en émeuve [4] ! Lors de la révision de la liste des personnes sanctionnées le 30 mars, le Conseil de Sécurité a ignoré ces suggestions du Groupe d’Experts.

    Il semble, par ailleurs, que le Conseil de Sécurité de l’ONU n’a toujours pas rendu public le rapport de la commission d’enquête internationale sur les violations des droits humains au début de la crise ivoirienne [5], remis au Conseil en décembre 2004. Celui-ci permettrait pourtant de savoir si des exactions ont alors été commises ou couvertes par certains des acteurs politiques et militaires actuels : il en va de la lutte contre l’impunité et de la crédibilité de l’Organisation des Nations Unies.

    Aussi, l’association Survie :

    ■demande des explications à la diplomatie française et l’ONU sur le contenu des documents diffusés par Inner City Press les 8 et 13 avril. En l’absence de réaction, ces documents, qui ternissent l’action de la communauté internationale et des forces impartiales en Côte d’Ivoire, seront tenus pour authentiques.
    ■salue, enfin, la publication du rapport du Groupe d’Experts S/2011/271, discrètement bloqué depuis le mois de septembre, mais regrette que le Comité des Sanctions de l’ONU n’ait pas alerté le Conseil de sécurité de l’ONU que, loin du désarmement prévu avant les élections, les belligérants se réarmaient, et s’inquiète que lors de la révision de la liste des personnes sanctionnées, le même Comité ait ignoré les suggestions du Groupe d’Experts (cf. S/2011/271 §443).
    ■exhorte le Conseil de Sécurité de l’ONU à rendre public le rapport de la commission d’enquête internationale sur les violations des droits humains au début de la crise ivoirienne, établi suite à la déclaration S/PRST/2004/17, qui lui a été remis en décembre 2004.
    Côte d’Ivoire : clarifications attendues de la part de la France et de l’ONU CP Survie 10mai2011

     

    ah ! au fait, normalement c'est bien Gbagbo qui a gagné : http://www.decapactu.com/spip/article.php3?id_article=579


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  • dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
    que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
    Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.

     

    parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et  pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il se passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien pensant aimassent à s'identifier .....

    Or ces Témoins de Jéhovah qui comme, (normalement .....) tout chrétien ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroit refusaient de devenir soldats étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais) ou l'instituteur :
    "Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or

    "En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaisssent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"

    "Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ...)

    et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc

     

    Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.


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  • Une liste partielle des enfants palestiniens tués par des israéliens

    Les informations suivantes viennent de "Remember These Children" qui s’est donné pour tâche de recenser tous les enfants israéliens et palestiniens tués dans l’idée (qu’hélas les médias étasuniens ne partagent pas) que tous les enfants ont la même importance.

    Dans cette liste "IDF" signifie les forces de défense israéliennes, une armée d’occupation agressive ; "incursion" fait référence à l’invasion de la terre palestinienne par l’armée israélienne. Je le répète : ceci n’est qu’une liste partielle des enfants de 13 ans ou moins sur les 1500 mineurs palestiniens tués par l’armée israélienne dans les onze années passées ; pendant la même période les Palestiniens ont tué environ 130 mineurs israéliens.

    2000

    Muhammad Saleh Muhammad al-Arja, 12 ans, de Rafah, Gaza, tué d’une balle dans la tête par un sniper israélien près du barrage de la frontière de Rafah.

    Math Ahmad Muhammad abu-Hadwan, 11 ans, de Hébron, tué d’une balle dans la tête par l’IDF à Tel Rumeida.

    Abdul-Rahman Khaled Hammouda Khbeish, 4 ans, du camp de réfugiés de Balata tué d’une balle dans la tête par l’IDF.

    2001

    Le bébé Obeisi, de Naplouse, est morte à un checkpoint de l’IDF parce que les soldats ont refusé de la laisser passer pour aller à l’hôpital.

    Muhammad Ismael Hashem Nasr, 10 ans, de Dahyet al-Bareed, près de Jérusalem, tué par des colons israéliens.

    Isra Ahmad, 11 ans, de Naplouse, est morte à un checkpoint de l’IDF parce que les soldats n’ont pas voulu la laisser passer pour aller à l’hôpital.

    Mahmoud Ismael al-Darwish, 11 ans, de Dura, près de Hébron, tué par des éclats d’obus de l’IDF dans la poitrine.

    Yehya Fathi Muhammad al-Sheikh Eid, 12 ans, de Rafah, Gaza, tué par des éclats d’obus de l’IDF au visage, au cou et à l’abdomen.

    Iman Muhammad al-Haju, 4 mois, de Khan Younis, Gaza, tuée par des éclats d’obus de l’IDF dans les bras de sa mère.

    Suleiman Sami al-Masri, 12 ans, de Rafah, Gaza, tué par une balle de l’IDF dans le dos.

    Khalil Ibrahim Muhammad al-Moghrabi, 11 ans, de Rafah, Gaza, tué par le tir d’un tank de l’IDF dans la tête alors qu’il jouait avec un copain près de la frontière de l’Egypte.

    Diya Marwan Hilmi al-Tmeizi, 3 mois, de Ithna, près de Hébron, tuée en même temps que son grand frère par des tirs de colons à la tête et dans le dos.

    Ashraf Khalil Abdul-Minem, 8 ans, de al-Judeidah, près de Jénine, tué avec son frère par un missile lancé d’un hélicoptère de l’IDF au cours d’un assassinat ciblé.

    Bilal Khalil Abdul-Minem, 10 ans, de al-Judeidah, près de Jénine, tué avec son frère par un missile lancé d’un hélicoptère de l’IDF au cours d’un assassinat ciblé.

    Azhar Said Shalafa, 2 ans, de Rafah, Gaza, est morte à un checkpoint de l’IDF parce que les soldats ont refusé que sa mère l’emmène à l’hôpital.

    Muhammad Subhi abu-Arrar, 14 ans, du camp, du réfugiés de Rafah, Gaza, tué par un tir d’un sniper de l’IDF dans la poitrine alors qu’il jouait devant chez lui.

    Inas Samir abu-Zeid, 5 ans, de Rafah, Gaza, tué avec son frère par des éclats d’obus de l’IDF.

    Suleiman Samir abu-Zeid, 7 ans, de Rafah, Gaza, tué avec son frère par des éclats d’obus de l’IDF.

    Abdallah Atatrah, 3 ans, de al-Tarm, près de Jénine, est mort à un checkpoint de l’IDF parce que les soldats ont refusé de laisser passer la voiture qui l’emmenait au centre médical de Yabad après qu’il soit tombé dans un étang.

    Khaled Arafat al-Batash, 2 ans, de Hébron, tué par des gaz pendant une attaque de l’IDF et de colons israéliens.

    Riham Nabil Younis Abul-Ward, 10 ans, de Jénine, tuée par un balle de l’IDF dans la tête dans sa salle de classe.

    Abed-Rabo, un nouveau-né de Bethlehem, est mort à un checkpoint de l’IDF parce que les soldats ont empêché sa mère d’aller recevoir des soins.

    Akram Naim Abdul-Karim al-Astal, 6 ans, du camp de réfugiés de Khan Younis à Gaza, tués avec son frère et trois cousins par un missile de l’IDF sur le chemin de l’école.

    Anis Idris Muhammad al-Astal, 11 ans, du camp de réfugiés de Khan Younis à Gaza, tués avec son frère et trois cousins par un missile de l’IDF sur le chemin de l’école.

    Muhammad Rateb abu-Shahla, 12 ans, de Jénine, tué par un éclat d’obus de l’IDF à la tête.

    Shadi Ahmad Abdul-Moti Arafeh, 13 ans, de Hébron, tué dans par un missile lancé d’un hélicoptère de l’IDF au cours d’un assassinat ciblé.

    Burhan Muhammad Ibrahim al-Himuni, 3 ans, de Hébron, tué dans par un missile lancé d’un hélicoptère de l’IDF au cours d’un assassinat ciblé.

    Muhammad Zakin, 8 heures, de Yamoun, près de Jénine, est mort à un checkpoint de l’IDF parce que les soldats ont empêché sa mère de passer pour aller se faire soigner.

    Rami Salahaldeen Muhammad Zurob, 13 ans, de Rafah, Gaza, tué d’une balle à la tête tirée d’un hélicoptère de l’IGF pendant qu’il jouait devant chez lui. 2002

    Muna Sami Ataya al-Bajasa, 13 ans, de Khan Younis, Gaza, tué avec sa mère par le feu d’un tank de l’IDF qui faisait une incursion en Palestine.

    Mahmoud Hasan Ahmad al-Talalka, 7 ans, de Beit Hanoun, Gaza, tué par des tirs de l’IDF dans l’abdomen près de la colonie de Nisanit.

    Maria Izaldeen abu-Sarieh, 9 ans, du camp de réfugiés de Jénine, tuée chez elle par des éclats d’obus à la tête pendant une incursion.

    Inas Ibrahim Eisa Saleh, 9 ans, du camp de réfugiés de Jabalya, Gaza, est morte de ses blessures après avoir reçu des éclats d’obus de l’IDF le 19 février lors d’un assassinat ciblé.

    Muhammad Hussein abu-Kweik, 8 ans, du camp de réfugiés de Amari, tué avec ses deux soeurs par les tirs d’un hélicoptère de l’IDF pendant un assassinat ciblé.

    Shaima Izaldeen Ibrahim al-Masri, 7 ans, de Ramallah, tuée par les tirs d’un hélicoptère de l’IDF pendant un assassinat ciblé.

    Said Ali Ibrahim Subeih, 12 ans, de Ramallah, est mort des suites de blessures dans la tête dues aux tirs de l’IDF le 28 février.

    Muhammad Mamoun Fayez abu-Ali, 10 ans, du camp de réfugiés de Tulkarm, est mort des suites de blessures par balles dans la poitrine infligées par l’IDF lors de l’incursion du 7 mars.

    Amani Odeh Muhammad al-Awawdah, 12 ans, du camp de réfugiés de Bureij, Gaza, tué avec sa mère, son frère, sa soeur et son cousin par une mine de l’IDF alors qu’ils roulaient dans une carriole tirée par un âne.

    Salim Odeh Muhammad al-Awawdah, 10 ans, du camp de réfugiés de Bureij, Gaza, tué avec sa mère, son frère, sa soeur et son cousin par une mine de l’IDF alors qu’ils roulaient dans une carriole tirée par un âne.

    Tariq Muhammad Salman al-Awawdah, 10 ans, du camp de réfugiés de Bureij, Gaza, tué avec sa mère, son frère, sa soeur et son cousin par une mine de l’IDF alors qu’ils roulaient dans une carriole tirée par un âne.

    Mujahed Arafat abu-Shabab, 2 ans, de Rafah, Gaza, tué par des éclats d’obus de l’IDF.

    Shaima Said Abdul-Rahim Hamad, 12 ans, de Rafah, Gaza, est morte de blessures à la tête infligées par des tirs de l’IDF le 15 mars.

    Iyad Imad Muhammad al-Mughrabi, 11 ans, du camp de réfugiés de Askar, est morte de blessures à la tête infligées par des tirs de l’IDF le 15 mars.

    Riham Hussam Mustafa abu-Taha, 4 ans, du camp de réfugiés de Rafah, Gaza, est morte de blessures à la tête infligées par des tirs de l’IDF le 15 mars.

    Mahmoud Muhammad Musa abu-Yasin, 13 ans, du camp de réfugiés de Jabalya, Gaza, est morte de blessures à l’abdomen reçus pendant un enterrement le 12 mars.

    Abdullah Samir Omar al-Shubi, 10 ans, de Naplouse, a été tué avec les sept membres de sa famille par un missile pendant une incursion de l’IDF.

    Anas Samir Omar al-Shubi, 4 ans, de Naplouse, a été tué avec les sept membres de sa famille par un missile pendant une incursion de l’IDF.

    Azzam Samir Omar al-Shubi, 7 ans, de Naplouse, a été tué avec les sept membres de sa famille par un missile pendant une incursion de l’IDF.

    Salwa Khaled Dahaliz, 10 ans, du camp de réfugiés de Rafah, Gaza, a été tué par une balle de l’IDF dans la tête près de la colonie de Rafah Yam.

    Sumaya Najeh Abdul-Hadi al-Hasan, 6 ans, du camp de réfugiés de Rafah, Gaza, a été tuée par un éclat d’obus de l’IDF dans la tête.

    Isra Ghaleb Othman, 10 ans, de Beitunia, près de Ramallah, tuée par une balle de l’IDF dans le côté.

    Ahed Rasmi Ali Hamad, 5 ans, de Hébron, tué par une balle de l’IDF pendant une incursion.

    Qusay Farah abu-Aisha, 12 ans, du camp de réfugiés d’Askar, tué par une balle de l’IDF pendant qu’il jouait dans la cour de sa maison pendant une incursion.

    Fadel Mahmoud abu-Zuheirah, 9 ans, de Beitunia, près de Ramallah, tué chez lui par le tir d’un tank au ventre pendant une incursion.

    Rifat Bassam Shehada Awad, 12 ans, d’Awarta, près de Naplouse, tué avec ses deux frères par un véhicule blindé de l’IDF.

    Khayri Bassam Shehada Awad, 11 ans, d’Awarta, près de Naplouse, tué avec ses deux frères par un véhicule blindé de l’IDF.

    Faraj Hekmat Udwan, 4 ans, d’Awarta, près de Naplouse, tué avec ses deux frères par un véhicule blindé de l’IDF.

    Othman Fadel Khaled Masharqah, 7 ans, de Jénine, tué par des éclats d’obus de l’IDF à la tête et aux membres pendant une incursion.

    Asad Faysal Ersan Qarini, 10 ans, de Jénine, tué par des balles de l’IDF au pied et à la tête pendant une incursion.

    Huda Muhammad Said abu-Shaluf, 12 ans, de Rafah, Gaza, tuée chez elle par des balles de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Fadi Ghassan al-Ajlouni, 8 ans, de Hébron, tué par des tirs de l’IDF.

    Abed Khaled Muhammad Ismael, 11 ans, d’Artas, près de Bethléem, tué par des tirs de l’IDF.

    Abeer Muhammad Yousef Zakarna, 3 ans, de Qabatiya, près de Jénine, tuée avec son frère et sa mère par des éclats d’obus de l’IDF dans les membres.

    Basel Muhammad Yousef Zakarna, 4 ans, de Qabatiya, près de Jénine, tué avec sa soeur et sa mère par des éclats d’obus de l’IDF dans le dos.

    Tamer Khaled Mahmoud abu-Siriyye, 10 ans, de Tulkarm, tué par els tirs d’un tank de l’IDF dans la poitrine alors qu’il lançait des pierres.

    Salem Sami Salem al-Shaer, 15 ans, de Rafah, Gaza, est mort avec son frère des suites de blessures par balles reçues le 7 mai lors d’un incursion de l’IDF.

    Anwar Elian Saleh abu-Said, 12 ans, de Juhor al-Deek, près de Khan Younis, Gaza, tué par des éclats d’obus de l’IDF.

    Hussein Eid Hassan al-Matwi, 8 ans, de al-Maghraqa, près de Khan Younis, Gaza, tué près de sa maison par des obus de l’IDF au coeur.

    Abdul-Samad Hashem Shamlakh, 10 ans, de Gaza City, tué près de chez lui par des tirs de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Ahmad Yousef Abdul-Aziz al-Ghazawi, 9 ans, de Jénine, tué par les tirs d’un tank.

    Fares Hussam Fares al-Sadi, 13 ans, de Jénine, tué par l’IDF quand ils ont fait sauter la maison de son voisin.

    Sjoud Ahmad Turki Fahmawi, 6 ans, de Jénine, tué par les tirr d’un tank de l’IDF à la poitrine et au bras gauche pendant une incursion.

    Jamil Yousef Abdul-Aziz al-Ghazzawi, 12 ans, de Jénine, est mort des suites de blessures à la jambe et à la cuisse causées le 21 juin par un tank de l’IDF alors qu’il était avec son frère.

    Bassam Ghassan Ragheb al-Sadi, 6 ans, du camp de réfugiés de Jénine, tué par des balles de l’IDF dans la poitrine.

    Muhammad Shteiwi, 12 ans, du camp de réfugiés de Fara, tué par des balles de l’IDF dans la poitrine.

    Anwar Muhammad Kamal al-Hindi, 2 ans, de Khan Younis, Gaza, tuée avec sa mère par une balle de l’IDF dans la tête.

    Shukri Fayq Abdel-Haj Daoud, 10 ans, de Qalqilya, est morte de blessures à la tête causées par des balles de l’IDF le 27 juin pendant le couvre-feu.

    Ahmad Said Abdul-Jawad abu-Radaha, 7 ans, du camp de réfugiés d’Amari, tué par une bombe de l’IDF.

    Muhammad Mahmoud al-Huwaiti, 3 ans, de Gaza City, tué avec son frère chez eux dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Subhi Mahmoud al-Huwaiti, 5 ans, de Gaza City, tué avec son frère chez eux dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Ayman Raed Matar, 18 ans, de Gaza City, tué avec son frère, sa soeur et des cousins chez eux dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Dina Raed Matar, 2 ans, de Gaza City, tuée avec son frère et des cousins chez eux dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Muhammad Raed Matar, 4 ans, de Gaza City, tué avec ses frères et soeurs chez eux dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Dunia Rami Matar, 5 ans, de Gaza City, tuée avec ses cousins chez elle dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Ala Muhammad Matar, 11 ans, de Gaza City, tué avec ses cousins chez lui dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Ahmad Muhammad al-Shawa, 5 ans, de Gaza City, tué avec son père chez eux dans une frappe aérienne de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de Salah Shehada.

    Asma Tahseen Ahmad Ahmad, 9 ans, de Khan Younis, Gaza, tuée par des éclats d’obus de l’IDF dans le dos alors qu’elle jouait dans la cour devant la maison.

    Hamzeh Muhammad Badawi Dweikat, 13 ans, de Balata, tué chez lui par des tirs de l’IDF à la poitrine et au cou pendant le couvre-feu.

    Ayman Atiya abu-Mugheiseb, 12 ans, de Deir al-Balah, Gaza, est mort de blessures à la tête suite à des tirs de l’IDF le 7 août dans sa cour.

    Ayman Bassam Nadid Fares, 6 ans, de Khan Younis, Gaza, tué par une balle de ’l’IDF dans la tête dans son champ près de la colonie de Ganei Tal.

    Jihad Musa Muhammad al-Athra, 6 ans, de Yatta, Hébron, écrasée par la voiture d’un colon.

    Bahira Borhan Mefleh Daraghma, 7 ans, de Tubas, tuée avec son cousin par un missile de l’IDF pendant une tentative d’assassinat.

    Abdul-Salam Fawzi Abdul-Rahman Samreen, 11 ans, de al-Bireh, tué par une balle de l’IDF au ventre pendant le couvre-feu.

    Rawan Murad Eisa Hrezian, 3 jours, de Hébron, est mort à un checkpoint de l’IDF.

    Rami Kahlil Ibrahim al-Barbari, 12 ans, de Naplouse, tué par les tirs d’un tank de l’IDF à la tête pendant le couvre-feu.

    Mahmoud Hamza Ahmad Zaghloul, 11 ans, de Naplouse, tué par des éclats d’obus de l’IDF au coeur.

    Thaer Salah al-Hout, 12 ans, du camp de réfugiés de Rafah, tué par les tirs d’un tank de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Shaima Kamal Yousef abu-Shamaleh, 8 ans, de Rafah, Gaza, tuée chez elle par des tirs d’un tank de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Nafez Khaled Mashal, 2 ans, du camp de réfugiés de Rafah, Gaza, tué par une balle de l’IDF à l’abdomen.

    Muhammad Rifat abu-Naja, 9 ans, de Rafah, Gaza, est mort des suites des blessures infligées le 17 oct par des tirs de l’IDF.

    Hamed Asad Hasan al-Masri, 2 ans, du camp de réfugiés de Rafah, Gaza, tué par des éclats d’obus de l’IDf dans la poitrine.

    Jihad Tahseen Darweesh al-Faqih, 8 ans, de Naplouse, tué par une balle de l’IDF dans le coeur pendant une incursion.

    Un bébé de Fawaregh, nouveau né, de Masarah, près de Bethléem, est mort à un checkpoint de l’IDF parce que sa mère n’a pas pu passer tout de suite pour aller à l’hôpital de Bethléem.

    Un nouveau né de Tel, près de Naplouse, tué par des balles de l’IDF.

    Nada Kamal Muhammad Mahdi, 11 ans, de Rafah, Gaza, tuée chez elle par des balles de l’IDF dans la poitrine.

    Hanin Saud abu-Sita, 12 ans, de Rafah, Gaza, tuée par des éclats d’obus de l’iDF au pelvis.

    Hanin Abdul-Kader Saleh abu-Suleiman, 8 ans, de Khan Younis, Gaza, tuée par des éclats d’obus de l’IDF à la tête.

    2003

    Abdul-Rahman Samer abu-Bakr, 10 ans, de Naplouse, est mort à un checkpoint de l’IDF parce qu’on l’a empêché d’aller se faire soigner.

    Iyad Salim Othman abu-Shaer, 12 ans, de Deir al-Balah, Gaza, est mort des suites de blessures par balles au cou infligées le 24 dec. par l’IDF.

    Ali Taleb Ghreiz, 8 ans, du camp de réfugiés de Rafah, Gaza, tué par des éclats d’obus de l’IDF dans la tête.

    Mustafa Ibrahim abu-Adwan, 10 ans, de Khan Younis, Gaza, est mort de blessures à la tête reçues le 7 février pendant un bombardement de l’IDF.

    Aref Omar Afif Bisharat, 13 ans, de Tammun, près de Tubas, est mort de blessures à la tête infligées par des tirs de l’IDF le 5 février alors qu’il lançait des pierres.

    Husni Majdi al-Ghul, 8 ans, de Qalqilya, tué par une balle dans la poitrine tirée par la police des frontières israélienne pendant une incursion.

    Abdul-Rahman Mustafa Ali Jadallah, 9 ans, de Khan Younis, Gaza, tué par une balle de l’IDF à la tête pendant un enterrement.

    Ilham Ziad Hassan al-Assar, 4 ans, du camp de réfugiés de Nuseirat, Gaza, tué par des tirs de l’IDF au pied et à l’abdomen pendant une incursion.

    Christine George Antoine Sada, 10 ans, du camp de réfugiés de Aida, tuée par les forces secrète de l’IDF par des tirs à la tête et à la poitrine pendant un assassinat ciblé alors qu’elle était dans une voiture avec sa famille.

    Anas Jihad al-Kahlout, 12 ans, du camp de réfugiés de Jabalya, Gaza, tué par une balle de l’IDF dans la tête.

    Amir Ahmad Muhammad Ayyad, 2 ans, de Gaza City, tué par des tirs de l’IDF à la poitrine et à l’abdomen pendant une incursion.

    Elian Saad Elian al-Bashiti, 18 mois, de Khan Younis, Gaza, tué par des éclats d’obus de l’IDF dans la tête.

    Tamer Nizar Fathi Arar, 11 ans, de Salfit, tué par une balle dans la tête tirée par un sniper de l’iDF pendant une manifestation.

    Afnan Yasser Muhammad Taha, 1 an, du camp de réfugiés de Bureij, Gaza, tuée avec sa mère par un missile envoyé d’un hélicoptère de l’IDF pendant l’assassinat ciblé de son père.

    Amal Nimer Salem al-Jarusha, 8 ans, de Gaza City, est morte des blessures infligées par un missile envoyé d’un hélicoptère de l’IDF le 10 juin pendant un assassinat ciblé alors qu’elle jouait dans la cour de chez elle.

    Muhammad Sharif Jawdat Kabaha, 3 ans, de Barta al-Sharkiya, près de Jénine, tué par des tirs d’un tank de l’IDF alors qu’elle attendait à un checkpoint dans la voiture de sa famille.

    Aya Mahmoud Noman Fayyad, 9 ans, de Khan Younis, Gaza, tuée chez elle par les tirs d’un tank de l’IDF à la poitrine.

    Sana Jamil al-Daour, 9 ans, du camp de réfugiés de Jabalya, Gaza, est mort des suites des blessures infligées à la tête et au cou le 29 août par des tirs d’un hélicoptère pendant un assassinat ciblée..

    Thaer Monsur Noman al-Sayouri, 9 ans, de Hébron, tué chez lui par les tirs d’un tank de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Muhammad Ayman Yousef Ibrahim, 7 ans, du camp de réfugiés de Tulkarm, tué par des balels de l’iDF à la poitrine pendant un assassinat ciblé.

    Ibrahim Ahmad Frej al-Qreinawi, 10 ans, de Rafah, Gaza, tué par des balles de l’IDF à l’abdomen pendant une incursion alors qu’il était dans la cour de sa maison avec sa famille.

    Atwa Yousef abu-Muhsen, 8 ans, de Rafah, Gaza,tué par des balles de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Muhammad Ziad Muhammad Baroud, 12 ans, du camp de réfugiés de Nuseirat, Gaza, tués par les tirs d’un hélicoptère de l’IDF pendant un assassinat ciblé.

    Muhammad Ismael Elian al-Hamayda, 10 ans, de Deir al-Balah, tué pendant une incursion par des balles de l’IDF à l’abdomen alors qu’il se rendait à la mosquée.

    Ahmad Muhanad Nafeh Meri, 11 ans, du camp de réfugfiés de Jénine, est morte de blessures à la tête infligées le 8 nov. par l’IDF alors qu’il lançait des pierres à des soldats qui démolissaient une maison de Jénine.

    Hani Salem Rabayah, 9 ans, du camp de réfugiés de Rafah, tué par des balles de l’IDF à la tête et au cou.

    Muayad Mazen Abdul-Rahman Hamdan, 9 ans, de al-Bireh, tué par des balles de l’IDF à la tête pendant une incursion.

    Latifa, un bébé prématuré, de Deir Balut, près de Ramallah, est morte en même temps que sa jumelle à un checkpoint de l’IDF parce que sa mère n’a pas pu aller à temps à l’hôpital.

    Moufida, un bébé prématuré, de Deir Balut, près de Ramallah, est morte en même temps que sa jumelle à un checkpoint de l’IDF parce que sa mère n’a pas pu aller à temps à l’hôpital.

    * Alison Weir est présidente du Council for the National Interest and Executive Director de If Americans Knew, organisation à but non lucratif qui fournit des informations sur Israel-Palestine. Elle partage son temps entre Sacramento et Washington DC. On peut la joindre à : contact@ifamericansknew.org.

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    Liste des enfants palestiniens assassinés : de 2004 à 2010




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