• les politiques des etats d'europe sont DICTEES par la Commission, les gouvernements que les peuples ont élus ne sont en réalité que des "kapos" qui sont là pour faire tenir tranquilles les détenus de leur baraque et pour faire appliquer les ordres du commandant du camp. C'était comme ça avec l'absurde et antisociale "réforme" des retraites, où des millions de français ot manifesté et le gouvernement Sarko n'en a pas tenu le moindre compte (c'est pas la définition qu'on nous donne d'une dictature ça ?) c'était décidé en amont par Bruxelles en fait. Maintenant la loi Macron, n'est que l'OBEISSANCE, l'application de lignes politiques imposées d'en haut, en-haut c'est le pouvoir non élu et responsable devent personne (sauf devant le GRAND CAPITAL ! notre vrai maître via l'UE, et devant l'impérialisme US dont l'OTAN est le bras armé et le garde-chiourne) de Bruxelles. Sinon la France aurait du payer une grosse amende ! explications :

    https://nouvellesdufront.shost.ca/la-vraie-raison-de-lutilisation-de-larticle-49-3-concernant-la-loi-dite-macron/

    adhérez à l'UPR ! votons UPR ! sortons d'URGENCE de l'UE de l'Euro et de l'OTAN

    la dernière fois où les USA avaient déjà essayé d'annexer la France, heureusement on a eu De Gaulle : http://lesmoutonsenrages.fr/2014/08/11/histoire-secrete-a-m-g-o-t-ou-quand-les-americains-ont-tente-dannexer-la-france/ 



    "ce sont des faits objectifs que je présente ....
    ils commencent par pousser des hauts cris, et puis ils vont se documenter, et ils découvrent que ce que je dis est vrai"


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  • à la 39-40è minutes : ça veut dire qu'en 18 ans les compagnies d'assurance sont devenues 22 fois plus malhonnêtes !

    https://www.youtube.com/watch?v=PwT-NLOcxvA&feature=player_embedded

    en fait tout l'entretien est édifiant et déprimant !Yell


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  • A l’occasion du match de Coupe d’Europe entre le club breton de Guingamp et le Dynamo de Kiev, France Info s’est livré à un exercice de propagande nazie : Le reportage tournait autour de la rencontre d’un reporter français avec les Ultras du Dynamo de Kiev, l’équivalent des supporters du PSG, aux crânes rasés et à la mine patibulaire. Toute la journée, nous avons donc eu en boucle le droit à un exercice de manipulation psychologique dans lequel les médias français sont passés maîtres…

    L’entretien avec les supporters est venu très vite après une anodine supportrice qui faisait don « de dentifrices, de savons et de petites choses pour les combattants du front », sur le thème des engagements des supporters dans les bataillons paramilitaires ukrainiens. Nous fûmes effarés d’entendre les Ultras, association très connue en Ukraine pour avoir déployé des drapeaux nazis, des banderoles aux slogans racistes, antisémites et faisant l’apologie du nazisme, expliquer dans le micro du reporter français Jérôme Cadet très complaisant que de nombreux supporters s’étaient engagés dans les rangs du bataillon Azov, devenu régiment Azov, une unité paramilitaire mal contrôlée par l’Armée ukrainienne, dont les « soldats » sont continuellement pris en photo avec des tee-shirts arborant des insignes nazis, des tatouages honorant Adolf Hitler, des runes nazis, des slogans non équivoques à caractère raciaux.

    Pourtant l’un des responsables explique que les cris scandés et les manifestations ostentatoires ont été modérés depuis… C’était un peu comme nous expliquer comment durant les Jeux Olympiques de 1936, Hitler donna l’ordre de « nettoyer » la ville de Berlin de toutes les pancartes et marques raciales et antisémites. Plus loin, un « spécialiste ukrainien du football », lui-même ancien supporter du club de Dniepropetrovsk, nous explique qu’il n’y a pas d’engagement politique chez les supporters : « leur seule motivation est de mettre le bazar dans les rues, d’affronter la Police, de déclencher l’Anarchie, de boire, la débauche », bref selon l’interlocuteur un comportement normal de hooligans… http://www.franceinfo.fr/actu/monde/article/ukraine-les-supporters-du-dynamo-kiev-la-tete-aussi-la-guerre-649381

    Un dernier intervenant nous explique alors calmement que les Ultras furent à la pointe du Maïdan. Par leur grande expérience des combats de rue et des émeutes contre la Police, ils furent une des causes majeures de la réussite de la « Révolution ».

    Crimes de guerre.

    France Info oublie sans doute que les SA, les sections d’assaut lancées dans la rue par Hitler n’avaient pas d’autres buts dans les années 20 et 30 que de faire le coup de poing dans la rue, de répandre la terreur, de tabasser les opposants communistes et les Juifs. Ces groupes paramilitaires n’ont jamais eu d’autres buts que d’être justement l’avant-garde répressive et violente, annonçant la couleur sur la nature du régime. Le bataillon Azov ; sans doute Jérôme Cadet l’oublie-t-il dans sa grande ignorance (ou pas si ignorant que cela ?) ; est accusé par Amnesty International, selon des rapports incontestables d’exactions gravissimes à l’encontre des russophones dans la région de Marioupol : violations des droits de l’Homme, humiliations publiques, passage à tabac, pillages, viols, enlèvements et meurtres de personnes, tortures sur des prisonniers, exécutions d’otages de prisonniers. Que dire non plus de la tentative du 14 octobre 2014, de membres des bataillons Azov et Aydar, accompagnés d’une foule hystérique et chauffée à blanc de s’emparer par la force de la Rada à Kiev, le jour de la célébration de la création de l’UPA, l’Armée Populaire d’Ukraine fondée par le nazi ukrainien Stepan Bandera ? Si Jérôme Cadet nous explique bien que les Ultras sont partiellement d’extrême droite, il est curieux de voir condamner l’antisémitisme en France notamment lors de la profanation de tombes à Sarre-Union mais d’en faire l’apologie à travers un reportage honteusement déformé en parlant à trois reprises « de guerre contre la Russie », ce qui est en soit une déformation de l’information. Rappelons que le bataillon Azov utilise la rune du loup, le Wolfsangel, rune SS inversée dans le cas d’Azov, exactement similaire à celle de la division SS Das Reich qui commit l’abominable massacre à Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944. Jérôme Cadet et France Info ne tombent-ils pas dès lors sous le coup de la justice pour la diffusion d’un programme faisant l’apologie du nazisme ? Mais peut-être les néo-nazis du bataillon Azov sont-ils Charlie et donc des intouchables…

    La vierge éplorée.

    Ce matin, après la défaite de Guingamp, trois buts à un, France Info s’étonne que les supporters ukrainiens ne se soient pas comportés comme des « démocrates » dans le stade : http://www.franceinfo.fr/actu/europe/article/incidents-l-issue-de-kiev-guingamp-voulu-tuer-nos-supporters-649879 « Je n’ai pas vu des supporters, j’ai vu une meute, il n’y a pas d’autres mots, avec des gens assoiffés de violence. Ils voulaient en découdre et je crois tuer nos supportersa déclaré le président d’En-Avant Guingamp Bertrand Desplat, sous le choc : Je suis complètement halluciné par ce spectacle ». Pensez-vous Monsieur Cadet qu’en déclarant que « parfois même ils sont de l’extrême droite », vous pouviez cacher la nature même des Ultras du Dynamo de Kiev et le caractère avéré et non contestable de néonazisme que tous les supporters et tous les volontaires du bataillon Azov prônent depuis des mois ? Comment répondrez-vous aux familles russophones de ceux qui ont été torturés et massacrés dans la région de Marioupol, comment expliquerez-vous que vous avez en boy scout fait l’apologie de violeurs et d’assassins ? Parfois même de jeunes filles pas même mineures, seulement parce qu’elles étaient russophones ? Comment justifierez-vous les slogans racistes « Moskals » ou « doryphores » qui appellent régulièrement au meurtre et à l’extermination des populations russophones en Ukraine ? Monsieur Cadet, vous-êtes vous-mêmes sous le coup de la loi, nous espérons que jamais vous n’ayez à retrouver les cadavres de votre famille massacrée par des fous dangereux comme vos « amis » du club des Ultras et du bataillon Azov. Vous vous-êtes déshonorés et avec vous toute la profession du journalisme en France.

    Laurent Brayard | février 27, 2015

     

     

    Heureusement que Mélenchon a sauvé l'honneur de la vérité et du bon sens dans ce "parlement" "européen" (mon oeil !) dont l'ambiance devient fasciste : http://www.dailymotion.com/video/x2gusn6
     

     une analyse de la propagande anti-soviétique et dans les commentaires un témoignage qui remet les choses en place : https://histoireetsociete.wordpress.com/2015/02/13/comment-je-me-suis-introduite-dans-la-tete-de-poutine-par-danielle-bleitrach/

    l'espoir du parti communiste d'Ukraine

    Il nous faut grandir et quand nous aurons grandi….
     
    Растем, а когда вырастем...
    Tout un programme on en  conviendra, mais ce petit poucet est pris dans la tourmente de la guerre, des appétits d’oligarques et de leurs troupes de néonazis… (amis de BHL !) Il mérite au moins la solidarité des communistes français, pas seulement parce qu’il est menacé, fragile et courageux, mais parce qu’il n’y a pas d’autre issue que d’en finir avec le capitalisme, pour lui comme pour nous.
    Et je rappelle our ceux qui l'auraient oublié que le capitalisme c'est ça :


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  • **

    et ce n'était pas limité aux "classes chics", avec les progrès républicains dans l'égalité sociale ces habitudes s'étaient largement répendues chez les petits-bourgeois, les agricultrices et les ouvrieres.

    *


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  • les 3 principaus proconsuls (ou marionettes si vous préferez) des USA :

     

    Le gouvernement de Syriza veut faire sombrer le TTIP
     

    Le nouveau gouvernement à Athènes s'est toujours méfié du partenariat transatlantique pour le commerce et l'investissement (TTIP) et compte utiliser sa majorité parlementaire pour faire échouer l'accord commercial entre les États-Unis et l'UE. Un article d'EurActiv Grèce.

    Après avoir donné de la voix lors du débat sur les sanctions russes, le nouveau gouvernement d'Athènes s’attaque désormais à l'accord commercial UE-USA, ou TTIP.

    Georgios Katrougkalos, ancien eurodéputé influent de Syriza, désormais ministre adjoint pour la réforme administrative au sein du gouvernement grec de gauche, a déclaré que le nouveau pouvoir de l'État hellénique utiliserait son veto pour faire sombrer l'accord, en tout cas dans sa forme actuelle.

    Juste avant les élections grecques en janvier, Georgios Katrougkalos avait déclaré à EurActiv Grèce qu'un parlement dominé par Syriza ne ratifierait jamais le TTIP.

    Interrogé sur le maintien de cette promesse maintenant que Syriza est au pouvoir, le ministre a répondu :

    « Je peux vous assurer qu'un parlement où Syriza détient la majorité ne ratifiera jamais l'accord de libre-échange. C'est un grand service que l'on rend non seulement au peuple grec mais aussi au peuple européen dans son ensemble. »

    Double pouvoir de veto

    Syriza, le parti de gauche, n'a peut-être pas la majorité absolue au parlement grec mais son petit partenaire de coalition semble partager le même point de vue sur l'accord commercial.

    Le parti d'Alexis Tsipras, qui a remporté une victoire écrasante lors des élections anticipées du 25 janvier dernier, a formé une coalition avec les Grecs indépendants, parti anti-austérité de droite déterminé à s'opposer aux lois favorisant les grandes entreprises.

    >> Lire : La victoire de Syriza brave l'austérité en Europe

    Cette coalition donne au nouveau pouvoir grec un véritable droit de veto sur le TTIP et autres accords soumis à la ratification des parlements nationaux.

    En effet, une fois que le pacte sera négocié - processus qui pourrait prendre plus d'un an - il sera soumis à un vote unanime du Conseil européen, où chacun des 28 gouvernements nationaux est représenté.

    Cela signifie qu'un pays peut faire valoir son droit de veto pour influencer les négociations ou bloquer l'accord commercial dans son ensemble, une occasion que Syriza n'hésitera pas à saisir.

    Même si l'accord passe cette première étape, il sera par la suite soumis à la ratification des parlements des 28 États membres, offrant ainsi une deuxième chance à Syriza d'exercer son véto.

    L'État providence menacé

    Comme beaucoup de partis de gauche et sociaux-démocrates en Europe, Georgios Katrougkalos a exprimé de vives inquiétudes quant au mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États, ou RDIE, inclus dans l'accord.

    Le mécanisme vise à protéger les investissements à l'étranger des entreprises contre des règles nuisibles ou illégales dans les pays où elles opèrent. Ce mécanisme donne donc une chance aux entreprises d'engager des poursuites judiciaires contre un État dont la législation a un effet négatif sur leurs activités économiques.

    Georgios Katrougkalos a souligné l'incertitude planant au-dessus des négociations du RDIE, ajoutant au passage que le mandat de la Commission européenne manquait de clarté.

    « Depuis le début, ces négociations manquent de transparence, ce qui est anti-démocratique », s'est-il indigné.

    >> Lire : Les négociations sur le TTIP reprennent sous tension à Bruxelles

    Selon le nouveau ministre, l'objectif du TTIP n'est pas de réduire les droits de douane, qui sont déjà très bas, mais plutôt d'ajuster les règles appliquées à d'autres secteurs. « Il contribue à l'élimination de certaines procédures bureaucratiques pour les exportations, ce qui renforce l'efficacité économique », a-t-il admis.

    Le danger, selon lui, réside dans le fait que la plupart des secteurs économiques ont des réglementations différentes en Europe et aux États-Unis. Pour le ministre, les multinationales cherchent à avoir le moins de barrières réglementaires possible, citant notamment les banques et les sociétés de courtage qui sont soumises à moins de contrôle aux États-Unis qu'en Europe.

    « L'UE n'autorise pas les OGM, offre une bien meilleure protection des données et de meilleurs systèmes de santé nationaux », a-t-il déclaré, ajoutant que toute consolidation de ces règles « bouleversera la manière dont l'État providence est organisé dans l'UE. »

    Les Grecs indépendants sur la même ligne

    Les Grecs indépendants, le parti anti-austérité de droite, partenaire de coalition de Syriza, s'oppose également au TTIP.

    Dans un communiqué publié le 4 novembre 2014, le parti, dans l'opposition à cette époque-là, avait déclaré que l'accord ne serait pas à la hauteur de ses promesses de relancer l'activité économique.

    « L'accord est censé stimuler l'économie réelle, mais ses principaux défenseurs sont des banques internationales et des lobbies », a rappelé Marina Chrysoveloni, porte-parole des Grecs indépendants.

    « En d'autres termes, le capital spéculatif sera encore plus libre de circuler […] dans un marché unique immense qui comptera 800 millions de personnes » a-t-elle conclu.
    (donc l'alliance de Syriza avec les grecs indépendants n'a rien de "contre-nature".)

    Du côté de Syriza, Georgios Katrougkalos admet qu'il ne sait pas comment vont se terminer les négociations mais se dit confiant que l'accord de libre-échange « sera approuvé par le Parlement européen ».

    « Les sociaux-démocrates rejettent la clause de règlement des différends entre investisseurs et États mais semblent accepter la logique de l'accord commercial », a rappelé le ministre adjoint. Selon lui, le Parti populaire européen de centre-droit et les libéraux ADLE « peuvent compter sur leur majorité au Parlement ».
    EurActiv Greece
    Sarantis Michalopoulos
    traduit de l'anglais par
    Marion Candau

     

    quand au bilan entre la Grèce et l'Allemagne, ce n'est pas la grèce qui doit de l'argent à lAllemagne, c'est l'Allemagne qui en doit à la grèce et n'a pas payé ce qu'elle doit :

    http://www.anti-k.org/2015/02/11/la-grece-et-loccupation-par-les-forces-du-iiie-reich-1941-1944-la-dette-de-qui-envers-qui/


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