• « sentir de l'enthousiasme pour l'autre »

    Rolando Toro, né en 1924 au Chili, est l'inventeur de la « Biodanza ».

    « L'enthousiasme, l'émerveillement, et l'allégresse. Ce sont les sentiments que m'inspirent la Biodanza depuis que je la pratique. » (Bruno Giuliani, philosophe)

    « Rolando assume pleinement ses contradictions, ses élans, ses révoltes, sans peur, sans recherche de perfection ou d'idéal. » (Bruno Ribant, psychologue)

    « c'est à partir d'observations que je me suis intéressé à créer un système pour stimuler la joie de vivre, pour améliorer l'intégration entre l'esprit et le corps et pour renforcer le lien entre les personnes.

    J'ai fait beaucoup d'observations. » (Rolando Toro)

    Extraits du livre d'entretiens avec Rolando Toro  « L'homme qui parle avec les roses »:

     

     
    « je crois qu'en tout ce qui est bon, excellent, comme l'amour, l'amitié, la contemplation de la nature, l'art, il faut être excessif, extraordinairement excessif. » 


    «  ... ma mère me donnait généreusement son amour et son autorisation, elle a toujours eu confiance en moi, depuis que j'étais tout petit. »

    « Mon père ... lui vivait dans le monde du rêve ; rien à voir avec le réalisme de ma mère (la nourriture, l'école, les vêtements). Mon père jouait de la musique, de la mandoline. ... dépensait tout son argent en jouets pour nous, au lieu de se préoccuper des choses urgentes et du nécessaire. »
     

    « La psychologue m'a présenté un tableau de plus de cent activités, et toutes me plaisaient ! La musique, les mathématiques, la gymnastique, la littérature, la poésie, les voyages ... J'aimais tout !

    ... Je crois qu'en réalité, le monde nous offre tant de choses intéressantes et merveilleuses, que c'est une tentation d'entrer en elles. »

    « en tant qu père, j'en suis arrivé à la conclusion que la paternité est une des potentialités les plus merveilleuses qu'un homme puisse développer, l'exercice de la paternité. »

    « Je crois en la famille, en l'appartenance à un nid écologique, et j'aime beaucoup le mariage. »

    « J'ai commencé à étudier les différentes psychothérapies existantes ....mais je voyais déjà qu'aucune ne parvenait à pénétrer l'âme du malade mental ; elles n'effleuraient que son comportement. Je ne crois pas en les thérapies comportementales. »

    « A partir de là, je disposais pour ainsi dire d'une prescription : pour les malades mentaux, ce qui convenait, c'était les musiques euphorisantes. Mais il manquait quelque chose ; Parce que je voyais qu'ils étaient en grand besoin d'affection.

    ...        Il y avait un malade qui profitait de l'autorisation créée par cette situation et qui se tenait près d'une autre malade, schizophrène, les deux se tenant par la main. Et ils restaient plongés en extase pendant l'heure et demie que durait la séance, sans sortir de cet état, car ils étaient ailleurs : c'est à dire qu'ils vivaient l'amour infini »

    « L'échec de la psychiatrie est pour moi l'incapacité du médecin à aimer le fou. »

    «  la "critique constructive" n'a jamais permis à personne de s'améliorer ! Ce qu'il faut faire c'est travailler sur la partie saine, et stimuler les potentialités qui sont propres à la personne.

    ... cette éducation, basée sur la critique, sous-entendant que nous détenons tous les fils de la sagesse, me déplait profondément. »

    « Freud est un grand homme, cependant sa méthodologie ne m'intéresse pas, parce que le corps n'y est pas présent. »

    « La notion d'inconscient collectif me semble avoir été une grande découverte. Ce que je n'apprécie pas chez Jung est néanmoins la théorie de la recherche du Moi, qui est en fait un chemin d'autonomie qui vise à convertir l'homme en une sorte de roi autocratique, et non en un frère. »

    « ... Freud lui-même, qui pensait que si les conflits inconscients passaient à la conscience, l'état de la personne allait s'améliorer ...

    Jamais ! (il s'anime). Personne ne s'améliore jamais en prenant conscience de ses défauts ou de ses problèmes. »

    « ... Feldenkrais ... me dit un jour qu'il se rendait compte que ce dont le corps avait besoin était de caresses et non de conscience. Et c'est alors que j'ai formulé ma phrase préférée : "Il faut agir deux fois avant de penser !"»

    « De Reich, j'ai conservé l'importance de la sexualité sans peur, l'importance de la libération sexuelle. Parce que la libération sexuelle n'a pas encore commencé ! »

    « La Biodanza ... une sorte d'utopie qui pourrait se réaliser, et qui est en train de se réaliser, car elle grandit d'une manière telle qu'elle est en train de nous échapper. ... La Biodanza  grandi partout, car elle est ce dont l'être humain a besoin. »

    « Je crois ainsi que l'amour est essentiellement un sentiment d'appartenance. Il ne s'agit pas d'une conception machiste de l'appartenance, dans laquelle l'homme possèderait une femme en restant lui-même libre. Ni non plus d'une conception féministe, dans laquelle la femme serait libre, nourrissant de la haine pour l'homme.

    L'appartenance dont je parle est la possibilité d'entrer dans une fusion infinie avec l'autre, par amour »

    « Nous ne nous exprimons pas. Seuls les enfants parviennent encore à tout exprimer. »

    « Pour moi la poésie est ma perception au quotidien du quotidien. Pour moi toute chose a une connotation poétique. »

    « La vie provient d'une impulsion qui vient d'avant la vie, et qui pousse l'univers à évoluer vers la conscience, vers l'amour, vers l'empathie, et tout ce qui fait la grandeur de l'être humain »

    « Les lois ne sont pas organisées sur la base du droit à la vie, du respect de la vie, du respect des relations humaines, mais sur le droit de propriété. »

    « Aujourd'hui, la misère est universelle, alors que tout l'argent et tout le pouvoir sont entre les mains d'une élite minuscule. Cette élite défend au prix du sang ce pouvoir et cet argent »

    « Il y a une décadence éthique dans cette culture. Et ceci ne peut changer qu'à partir de l'affectivité de l'enfant, de l'enchantement de se sentir vivant, de la joie de vivre, de la poétique de la rencontre, de la danse, du plaisir sexuel... »

    « La religion bouddhiste ... permet d'entrer dans une sérénité contemplative, de créer un vide intérieur, dans une absence de désir, anesthésiant les sens, et atteignant une parfaite solitude. Cette proposition m'horripile, je la trouve épouvantable ! ... et pourtant elle jouit d'un très grand prestige !

    Le solipsisme oriental qui t'empêche de sentir du désir pour l'autre, de sentir de l'enthousiasme pour l'autre. Parce que tes sens doivent être anesthésiés et tu dois te remplir d'un grand vide, pour entrer en extase avec l'univers. Mais l'extase avec les personnes, l'extase que tu vis quand tu as un enfant dans les bras, l'extase que tu ressent avec la femme que tu aimes, ça c'est l'extase ! »

    « l'amour n'est rien d'autre que la joie d'être en relation avec l'autre et le désir de cultiver cette joie. »

    « Ce lien avec la mère perdure par delà la mort de celle-ci, c'est un cordon ombilical qui ne se romp jamais, au grand désespoir des psychologues, qui prétendent qu'il faut couper le cordon. Il n'y a pas à couper le cordon, tout simplement parce qu'il ne peut pas être coupé.



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  • par JBB

     

    Le propre de la société en place est de nous faire croire qu'il n'existe pas d'alternative, qu'il ne serait pas possible d'aller contre un principe de réalité érigé en dogme. Une certitude si ancrée qu'elle fait passer ceux qui pensent autrement pour de doux utopistes, incapables de voir plus loin que le bout de leurs rêves enfumés. Ou - au mieux - pour de gentils agitateurs dont il serait salvateur qu'ils n'aient pas le pouvoir de mettre en place les ruptures qu'ils prônent. Tous discrédités, donc. Y compris les militants de la gratuité des transports, mot d'ordre popularisé depuis les mouvements sociaux de 1998 mais très rarement mis en application. Pourtant...

    Une utopie ? Mon oeil !

    La gratuité des transports publics n'est déjà plus une utopie en quelques communes privilégiées. A Châteauroux, la municipalité l'a mise en place depuis 2001, partant du constat que le paiement du ticket par les usagers ne représentait qu'un pourcentage marginal du coût total des transports :

    "La billetterie rapportait (...) environ 366 000 €, ce qui ne représentait que 14 % du coût du réseau. Bien que cette somme ne soit pas négligeable, cette entrée d'argent ne représentait pas un apport significatif, ni une manne indispensable au fonctionnement de notre réseau. Dans notre réflexion sur le passage à la gratuité, des solutions alternatives permettant d'équilibrer nos comptes sans ces recettes ont été étudiées, explique ainsi Jean-François Mayet, maire de Châteauroux, en une interview donnée au Mague.

    Avant le passage à la gratuité, il n'était déjà pas fait appel à la fiscalité locale. Il n'y a donc pas eu de hausse des impôts. La suppression des recettes a été compensée par une augmentation du Versement Transport de 0,55 % à 0,6 % (taxe prélevée sur la masse salariale des entreprises de plus de 9 salariés installées sur l'agglomération). Ajoutez à cela la réduction du coût des prestations, concédée par la société exploitante du réseau."

    Châteauroux n'est pas seule. La ville de Compiègne pratique la gratuité des transports depuis 33 ans, celle de Vitré s'y est mise plus récemment. Enfin, la communauté d'agglomération du pays d'Aubagne et de l'Etoile s'y colle en ce début d'année : « Les élus relèvent que les recettes de la billetterie représentent moins de 9 % sur un budget annuel des transports de 9 millions d'euros. Sans oublier le coût de l'émission des billets, de leur contrôle... Au final, le surcoût de la gratuité est estimé à 700 000 €, une somme que l'agglomération est prête à assumer », relève le site Carfree France..

    Juste la preuve que c'est possible. La gratuité des transports n'a rien d'une utopie, mais relève d'une simple question de priorité des collectivités. Et là où elle n'est pas mise en place, il appartient à chaque citoyen de la pratiquer. En clair : vive la fraude !

     

    Quand l'exemple vient d'en haut...

    Frauder ? Ok, mais avec une assurance...

    Frauder ? C'est bien gentil... Mais encore faut-il s'en sortir gagnant, le montant des amendes n'excédant pas celui du coût des tickets qui auraient dû être réglés. Là, guère de solution, sinon compter sur la chance, sur sa capacité à courir vite pour échapper aux contrôleurs ou... sur une mutuelle. Le principe ? Contre le paiement d'un forfait mensuel par ses membres, une mutuelle de fraudeurs prend en charge les éventuelles amendes. A Paris, elles sont quatre à fonctionner sur ce modèle, la plus importante, celle du Réseau pour l'abolition des transports payants (RATP), comptant une quarantaine d'adhérents.

    « Le collectif RATP a été créé en 2001 par des militants - surtout issus de la Fédération anarchiste et du groupe No Pasaran du Scalp, mais aussi d'AC, d'Alternative Libertaire et de la CNT - qui s'étaient saisis depuis les mouvements des chômeurs de 1998 de la question de la gratuité des transports en commun. Il s'agissait d'abord de revendiquer cette gratuité pour les précaires et les chômeurs, puis pour tous les usagers, explique Gildas. Histoire de faire connaître ce mot d'ordre, nous avons organisé des opérations portes ouvertes, en distribuant des faux tickets et en ouvrant les portillons aux usagers du métro. Des opérations qui ont très vite popularisé nos revendications. »

     

    La sauce a pris, en partie relayée par les médias et par les usagers. Et n'est sans doute pas étrangère à la décision de la région Île-de-France de mettre progressivement en place - à compter de 2006 - la gratuité des transports pour les chômeurs et bénéficiaires de minimas sociaux. Pas question, par contre, d'étendre cette gratuité à tous les utilisateurs des transports en commun. Une réalité qui a poussé les militants du RATP à trouver un biais pour la mettre réellement en pratique :

    « On a lancé la mutuelle en 2005, avec cette volonté de montrer qu'on pouvait mettre en place un outil permettant la gratuité, même à petite échelle. Pour nous, c'était une application concrète, histoire de montrer que notre revendication pouvait être mise en œuvre tout de suite. C'est surtout une pratique collective et solidaire, quelque chose de très important dans une société où chacun essaye de fuir et de se débrouiller dans son coin », souligne Manue.

    Il s'agit « d'assumer collectivement l'illégalité, précise Gildas, et de permettre aux fraudeurs d'assumer le non-paiement du ticket en donnant un sens politique à leur geste ». Pas si anodin que ça, nombre d'usagers des transports en commun se refusant à frauder par peur des contrôles : « Savoir qu'ils ont un collectif derrière eux aide certains usagers à sauter le pas. Ce n'est pas si facile, tant certains vivent très mal la hantise des contrôles et l'humiliation de la verbalisation. » Logique.

    Dans la pratique ? Le Réseau pour l'abolition des transports payants a institué un rendez-vous [1], histoire que les membres se connaissent, fassent le point sur les actions et règlent leur écot du mois à la mutuelle. Le montant ? Sept euros par mois, cotisation permettant à la structure informelle de ne pas faire de déficits et de pratiquer des tarifs réduits à l'intention de ceux qui ont des moyens limités. Une assurance risque qui couvre les contraventions émises dans les bus, métros et RER d'Île-de-France.

    Facile à mettre en place, ce type de structure pourrait essaimer partout. « Il suffit d'une vingtaine de membres pour qu'une telle mutuelle fonctionne. Un réseau de potes peut suffire, comme à Montreuil où une mutuelle s'est créée entre amis, assure Manue. Notre principal objectif est que les gens s'organisent. Plus il y aura de mutuelles, plus les transports payants verront leur légitimité menacée », confirme Gildas. En un mot : bougez-vous les fesses !

    Une affaire de ticket ? Pas seulement.

    Pour les adhérents du RATP, le combat s'est élargi : il ne s'agit pas seulement de lutter pour la gratuité des transports, mot d'ordre social et écologique, mais de combattre un certain modèle de société, en pointe dans les couloirs du métro, les gares ou les stations de bus. « Les transports en commun sont devenus un lieu d'expérimentation des politiques répressives et comportementalistes », regrette Manue.

    Un mouvement initié de longue date. Mais définitivement enclenché avec la Loi de sécurité quotidienne (LSQ), législation votée par les tartuffes de la gauche plurielle deux mois après les attentats du 11 septembre 2001. Dans ce pack tout-répressif, une augmentation du contrôle d'internet, des pouvoirs accrus aux uniformes de tous poils (agents de sécurité privés ou policiers), l'interdiction des rassemblements dans les cages d'escalier, la criminalisation ridicule des free-parties et... la création du délit de fraude par habitude dans les transports en commun, lequel punit d'un maximum de 7 500 € d'amende et de six mois de prison ceux qui se seraient fait verbaliser plus de 10 fois dans l'année pour défaut de paiement du titre de transport et n'auraient pas réglé leurs contraventions. En ligne de mire, les pauvres, les chômeurs et les fraudeurs, qui se sont retrouvés en masse au tribunal et pour certains derrière les barreaux [2].

     

    Criminalisation des fraudeurs d'un côté, extension du contrôle de l'autre : avec leurs caméras partout et leurs armadas de gros bras, les gares et couloirs du métro sont devenus le lieu privilégié des pratiques répressives. « Il y a la police nationale, l'armée, les contrôleurs, la police ferroviaire... on assiste à une espèce de confusion des forces répressives, toutes unies pour faire la chasse aux sans-papiers ou aux fraudeurs », souligne Manue. Point d'orgue de cette surveillance constante sacrée par le plan Vigipirate, le pass Navigo, la puce RFID qui y est intégrée gardant trace de tous les déplacements de son propriétaire au détriment du droit des usagers à se mouvoir anonymement. « Il y a un certain nombre des adhérents de la mutuelle qui nous ont rejoints parce qu'ils refusaient le traçage du pass Navigo et qu'ils cherchaient un moyen de se déplacer anonymement », termine Gildas. Sans pass, pas de puce ; sans puce, pas de traçage. Simple.

    Au final, un constat : puisqu'ils ont fait des transports en commun un laboratoire des politiques répressives, c'est là aussi que les mouvements sociaux doivent porter le combat. Hop : mutualisez-vous !


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  • Il y a des programmes entiers (souvent financés par des agences US, et ce depuis Kissinger ) qui stérilisent, souvent avec plein de pressions et de chantages (quand ce n'est pas carrèment de force comme au Pérou sous Fujimori) des centaines de milliers de femmes (dans certains états du *brésil ça se monte à la moitié de la population !) et, comme par hasard sortout des pauvre et

    surtout de noires ....


    le sujet n'a pas l'air de motiver les gens, même les militants Tiers-Mondistes. Est-ce parce que notre époque régit par la "Secte des Adorateurs de la Mort" n'aime pas la naissance de vies humaines, et réduit les personnes à des choses et des chiffres? La vie, même vécue, fi donc ! c'est "populiste" !

     



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  • Raul Castro a décidé que Les Cubains possédant des voitures américaines de collection - voire de vieilles guimbardes russes - sont encouragés à solliciter une licence de taxi, et ils pourront fixer "librement " le prix de la course.
    Concrètement, ça veut dire tout simplement que, le temps passant les vieilles voitures américaines qui faisaient  le charme de Cuba pour les touristes, se font vieilles et rares, et le gouvernement cubain se dit que les touristes étrangers seront prêts à payer n'importe quoi pour pouvoir rouler dans ces voitures, et qu'il y avait là de l'argent à gagner, et à faire gagner aux cubains.
    Mais, au lieu de dire ça, ou de présenter simplement, journalistiquement, la chose de manière factuelle, que fait Yahoo actualités ?
    Ils présentent ça d'une manière ostentatoirement idéologique , en disant tout de suite qu'il sagit par cette mesurette d'améliorer son "système des transports déplorable"
    (pardon ... heu .... si les taximen vont pouvoir fixer la course aussi cher qu'ils veulent ça veutt bien dire que le public visé est celui des touristes étrangers, donc ça ne va en rien améliorer les possibilités de déplacements des cubains de base hmm ?) et "autoriser un peu plus de libre jeu de l'offre et de la demande" (Aaamen !), qui est forcément un bien, n'est-ce pas ? ça ne se discute même pas (c'est le cas de le dire, les enfants d'ouvriers de 12 ans vers 1830 en savaient quelque chose), dans "ce système étatique.
    En fait la vie quotidienne des cubains ils s'en balancent ce qui les turlupine c'est seulement et toujours le respect de l'idéologie néo-libérale, auquel Cuba ne se plie toujours pas, alors ça les grignotte !




    Il leur manque encore une loi pour que la libre loi du déplacement des meubles soit réalisé: permettre aux cambrioleurs  de fixer à leur guise la quantité de choses qu'ils veulent prendre de la maison dans laquelle ils se seront introduit, il faut enfin en finir avec ce système étatiste, qui met tout ça sous le controle de la police et des tribunaux et qui entrave ainsi la liberté des gangsters et la libre négociation de leurs dégats entre eux et leurs "partenaires" (comme on dit maintenant), les rackettés.


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